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Critique de lutinielle
Pendant une semaine, sous l'égide d'un conseil du peuple, cinq représentants des grandes religions vont devoir exprimer clairement en quoi consiste leur religion et quelles sont ses croyances. A eux s'ajoute bien vite un sixième intervenant réclamé par le bouffon; un défenseur de l'athéisme en lequel on peut (en partie) reconnaitre l'auteur.
A chaque participant une demi-journée pour s'exprimer puis débattre avec les autres séminaristes et le publique. Ainsi, tout comme dans "Le monde de Sophie" de Jostein Gaarder, cette histoire est aussi une excuse pour nous donner un cours de théologie, le tout sous une forme plus digeste et distrayante qu'un manuel d'histoire des religions.
Suis-je objective pour en parler ? Pas tout à fait, malheureusement... Un auteur qui cite du Mircea Eliade (un de mes auteurs préférés), du Goethe, qui nous parle des religions du Livre (Juive, Musulmane et Chrétienne) ou des religions du bassin hindou.... Ne peux que me donner envie et me stimuler ! le tout présenté sur un modèle de conte faussement simple, avec ses trois figures du stéréotype humain; le roi, débonnaire et voulant bien faire, le sage; sage mais toujours tenté par son égo, et le bouffon; emplit d'une sagesse qui lui est toute particulière bien qu'essentielle aux hommes et toujours emporté par son désir de faire éclater les cadres et les normes.
C'est un bon livre de vulgarisation sans simplisme des 5 grandes religions et le rythme et le style du conte initiatique y sont agréables et facilitent la lecture mais je regrette que seules cinq des traditions théologiques y soientt représentées et que la femme y soit totalement minorée (malgré la présence éthérée d'une "forcément belle et pure jeune-femme").
Ma critique en entier sur http://unlivresurmeslevres.blogspot.fr/2014/04/le-roi-le-sage-et-le-bouffon-le-grand.html#comment-form (c'est mon premier article !!!!)
Lien : http://unlivresurmeslevres.b..
A chaque participant une demi-journée pour s'exprimer puis débattre avec les autres séminaristes et le publique. Ainsi, tout comme dans "Le monde de Sophie" de Jostein Gaarder, cette histoire est aussi une excuse pour nous donner un cours de théologie, le tout sous une forme plus digeste et distrayante qu'un manuel d'histoire des religions.
Suis-je objective pour en parler ? Pas tout à fait, malheureusement... Un auteur qui cite du Mircea Eliade (un de mes auteurs préférés), du Goethe, qui nous parle des religions du Livre (Juive, Musulmane et Chrétienne) ou des religions du bassin hindou.... Ne peux que me donner envie et me stimuler ! le tout présenté sur un modèle de conte faussement simple, avec ses trois figures du stéréotype humain; le roi, débonnaire et voulant bien faire, le sage; sage mais toujours tenté par son égo, et le bouffon; emplit d'une sagesse qui lui est toute particulière bien qu'essentielle aux hommes et toujours emporté par son désir de faire éclater les cadres et les normes.
C'est un bon livre de vulgarisation sans simplisme des 5 grandes religions et le rythme et le style du conte initiatique y sont agréables et facilitent la lecture mais je regrette que seules cinq des traditions théologiques y soientt représentées et que la femme y soit totalement minorée (malgré la présence éthérée d'une "forcément belle et pure jeune-femme").
Ma critique en entier sur http://unlivresurmeslevres.blogspot.fr/2014/04/le-roi-le-sage-et-le-bouffon-le-grand.html#comment-form (c'est mon premier article !!!!)
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