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Critique de kkubra


Sema Kilickaya est née en 1968 à Antioche, à la frontière turco syrienne dans un milieu arabophone et turcophone. C'est une écrivaine française d'origine turque. Elle suit des études d'anglais puis devient enseignante et traductrice. "La langue de personne" est son quatrième roman.
Au départ je n'avais pas compris le sens du titre du livre mais après avoir lu, j'ai pu connaitre sa signification.Chaque personne a son propre langage.
Dans le livre, le personnage principal joue beaucoup avec les mots. Ce livre nous parle d'une famille originaire de la Turquie qui vivent dans l'Est de la France. Cette famille est arrivée dans les années 1970, pour trouver un travail. L'histoire débute quand Fatma revient de l'Etats -Unis. La maladie de son père oblige à rentrer en France, dans son HLM de toujours. Elle retrouve sa famille qu'elle avait laissé. Sa sœur, a prit toute la responsabilité de la famille. Fatma parle beaucoup de la culture turque et elle décrit beaucoup Istanbul comme par exemple page 137 "Le simit, des odeurs, celle des embruns; des sons, la clameur des mouettes, la sirène des vapeurs, les klaxons, les vendeurs ambulants, le brouhaha du bazar égyptien..."
Fatma joue beaucoup avec les mots et elle aime beaucoup les mots. Elle est littéraire " Les mots sont dit à la légère sans qu'on prenne de les écouter réellement" page 131. Elle est outrée de la nouvelle génération. Elle corrige toujours les erreurs des autres personnes. Elle parle avec un langage soutenu par rapport à sa famille. Chaque mot fait un sens et rien est la pour faire jolie. Ce livre étais présenter pour le prix hors-concours. Et j'ai décidé de me plonger vers ce livre car le résumé du livre m'a intrigué et je voulais en savoir plus sur les personnages. Je ne connaissais pas du tout de cette auteure. Je connais parfaitement la culture turque et sa me rappelle des événements vécus. Ce roman réussi le pari de parler justement de beaucoup de choses, sans entrer dans le cliché. Ce roman a réussi a m'émouvoir. Le livre m'a fait réfléchir et les personnages sont intéressant. J'ai beaucoup aimé les passages ou elle décrit la Turquie et surtout Istanbul. Mais dans le livre il y a beaucoup de mots compliqué. Mais cela m'a pas empêcher d'aimer le livre. Je me met dans la peau des personnages, et je m'imagine à leur place.
Dans ce livre les femmes et la famille et contre le nouveau patriarche qui a remplacé le "baba" disparu.
A lire.
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