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Critique de Superpapa
Stephen King nous livre ici un essai, non conventionnel, disons plutôt une analyse, sur l'horreur et ses mécanismes.
N'étant pas un grand amateur d'essais, j'ai abordé celui ci avec appréhension. Et c'est le premier que je n'abandonne pas...
Ici King nous parle d'horreur, et en parle bien.
Il commence par décliner l'horreur en trois créatures : le loup-garou, le vampire, et la chose sans nom, et y ajoute ensuite le fantôme.
King les développe, les argumente...
Puis ensuite il les décortique dans des Oeuvres ou ils sont mis en scène, à la radio, au cinéma, à la télévision, et enfin dans un long chapitre dédié à la littérature horrifique.
Mène si certains passages m'ont parus long, et que le livre n'est pas exempt de répétitions, j'ai trouvé très instructif de lire l'avis du maître sur son art.
N'étant pas un grand amateur d'essais, j'ai abordé celui ci avec appréhension. Et c'est le premier que je n'abandonne pas...
Ici King nous parle d'horreur, et en parle bien.
Il commence par décliner l'horreur en trois créatures : le loup-garou, le vampire, et la chose sans nom, et y ajoute ensuite le fantôme.
King les développe, les argumente...
Puis ensuite il les décortique dans des Oeuvres ou ils sont mis en scène, à la radio, au cinéma, à la télévision, et enfin dans un long chapitre dédié à la littérature horrifique.
Mène si certains passages m'ont parus long, et que le livre n'est pas exempt de répétitions, j'ai trouvé très instructif de lire l'avis du maître sur son art.
