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Critique de Lagagne
Dolores était l'employée de Véra Donovan. A plus de 60 ans, la voilà en train de raconter son histoire à un officier de police suite à la mort de sa patronne.
Elle a vécu une grande partie de sa vie sous les ordres d'un mari violent ou d'une patronne acariâtre. C'est le portrait sensible d'une femme forte, qui plie mais ne rompt pas. Elle affronte les pires épreuves, debout, jusqu'à la rébellion et sa revendication.
Pas d'horreur ou de fantastique dans ce King ci, mais un texte qui sonne juste avec une héroïne dont le nom, Dolores, ne doit rien au hasard.
Elle a vécu une grande partie de sa vie sous les ordres d'un mari violent ou d'une patronne acariâtre. C'est le portrait sensible d'une femme forte, qui plie mais ne rompt pas. Elle affronte les pires épreuves, debout, jusqu'à la rébellion et sa revendication.
Pas d'horreur ou de fantastique dans ce King ci, mais un texte qui sonne juste avec une héroïne dont le nom, Dolores, ne doit rien au hasard.
