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Critique de MymyyS
Sur les conseils de mon amie Lucie, j'ai craqué et me suis offert Jessie en début d'année. C'est avec empressement que j'ai entamé ma lecture mais malheureusement, je n'ai pas aimé 😞
ℓ'нιѕтσιяє : L'auteur nous offre le point de vue de Jessie, femme d'une quarantaine d'années, en séjour avec son mari Gérald dans leur maison près du lac Kashwakamak. Ce séjour n'est pas ce qu'on pourrait appeler « banal » puisqu'ils y vont afin de satisfaire les lubies sexuelles de Gérald, à savoir menotter sa femme au lit. Jessie, cependant, se débat et dans la lutte, son mari s'effondre, foudroyé par une crise cardiaque. Jessie est toujours prisonnière, personne ne pourra la libérer.
ℓєѕ ρєяѕσииαgєѕ : J'ai évidemment détesté Gérald dès le départ. Un homme si préoccupé de sa personne et de ses propres désirs que ceux de sa femme ne comptent pas. J'ai presque été soulagée lorsqu'il a succombé à sa crise cardiaque et oui je sais comme c'est horrible de dire ça 😈
Concernant Jessie, elle est selon moi le point fort de ce livre. Attachante, si mal dans sa peau que ça n'en est que plus dramatique, à la fois forte et entravée par ses faiblesses. Je salue son intelligence, sa détermination, sa volonté de vivre. Et bien qu'elle soit schizophrène, j'ai espéré de tout mon coeur qu'elle réussisse à se sortir de là 🤞🏻
яєѕѕєитι géиéяαℓ : Si j'ai été embarquée dans les premières grâce à ma curiosité, j'ai vite déchanté et décroché des suivantes. J'ai trouvé que tout était beaucoup trop long, sans action. Sans grand intérêt.
L'auteur nous offre tous les secrets de Jessie, les dialogues avec les voix dans sa tête, son passé tourmenté. Ses doutes aussi et ses hallucinations. Tout ce livre se passe dans la tête de Jessie et je peux vous dire que c'était un sacré bordel là-dedans 🤣 Ça manquait de peps, d'énergie... de frissons. Je n'ai pas eu peur, n'ai pas été bouleversée par la terreur ambiante, l'ambiance malsaine. le passage où l'auteur décrit ce qui s'est passé pendant l'éclipse de 1963 m'a davantage secouée que tout le reste. le seul passage que j'ai lu avidement parce que, au moins, il se passait quelque chose.
Ça manquait évidemment de dialogues mais c'est une chose inévitable dans ce contexte. Forcément, ça manquait de dynamisme. Je me suis terriblement ennuyée et si abandonner une lecture n'était pas contre mes principes, je l'aurais fait sans hésiter.
Quant à la fin, elle m'a laissée perplexe 🤔 Voire même que je n'y adhère pas. Elle est tombée comme un cheveu sur la soupe, sans aucune explication. C'est dommage parce que c'était tout à fait le moment de développer son idée. En un sens, elle m'a aussi surprise, car elle lève le voile sur l'hésitation qu'a le lecteur entre réalité ou hallucinations.
C'est une chose que j'ai beaucoup par ailleurs, est-elle en train de rêver, d'imaginer tout ça ? Ou est-ce bien réel et dans ce cas-là, pourquoi ?
J'ai trouvé l'idée de départ excellente mais j'ai loupé le coche et j'en suis la première désolée.
Difficile pour moi de vous recommander cette lecture mais si vous voulez vous mettre à lire Stephen King, ce n'est assurément pas celui-ci que je conseillerais.
ℓ'нιѕтσιяє : L'auteur nous offre le point de vue de Jessie, femme d'une quarantaine d'années, en séjour avec son mari Gérald dans leur maison près du lac Kashwakamak. Ce séjour n'est pas ce qu'on pourrait appeler « banal » puisqu'ils y vont afin de satisfaire les lubies sexuelles de Gérald, à savoir menotter sa femme au lit. Jessie, cependant, se débat et dans la lutte, son mari s'effondre, foudroyé par une crise cardiaque. Jessie est toujours prisonnière, personne ne pourra la libérer.
ℓєѕ ρєяѕσииαgєѕ : J'ai évidemment détesté Gérald dès le départ. Un homme si préoccupé de sa personne et de ses propres désirs que ceux de sa femme ne comptent pas. J'ai presque été soulagée lorsqu'il a succombé à sa crise cardiaque et oui je sais comme c'est horrible de dire ça 😈
Concernant Jessie, elle est selon moi le point fort de ce livre. Attachante, si mal dans sa peau que ça n'en est que plus dramatique, à la fois forte et entravée par ses faiblesses. Je salue son intelligence, sa détermination, sa volonté de vivre. Et bien qu'elle soit schizophrène, j'ai espéré de tout mon coeur qu'elle réussisse à se sortir de là 🤞🏻
яєѕѕєитι géиéяαℓ : Si j'ai été embarquée dans les premières grâce à ma curiosité, j'ai vite déchanté et décroché des suivantes. J'ai trouvé que tout était beaucoup trop long, sans action. Sans grand intérêt.
L'auteur nous offre tous les secrets de Jessie, les dialogues avec les voix dans sa tête, son passé tourmenté. Ses doutes aussi et ses hallucinations. Tout ce livre se passe dans la tête de Jessie et je peux vous dire que c'était un sacré bordel là-dedans 🤣 Ça manquait de peps, d'énergie... de frissons. Je n'ai pas eu peur, n'ai pas été bouleversée par la terreur ambiante, l'ambiance malsaine. le passage où l'auteur décrit ce qui s'est passé pendant l'éclipse de 1963 m'a davantage secouée que tout le reste. le seul passage que j'ai lu avidement parce que, au moins, il se passait quelque chose.
Ça manquait évidemment de dialogues mais c'est une chose inévitable dans ce contexte. Forcément, ça manquait de dynamisme. Je me suis terriblement ennuyée et si abandonner une lecture n'était pas contre mes principes, je l'aurais fait sans hésiter.
Quant à la fin, elle m'a laissée perplexe 🤔 Voire même que je n'y adhère pas. Elle est tombée comme un cheveu sur la soupe, sans aucune explication. C'est dommage parce que c'était tout à fait le moment de développer son idée. En un sens, elle m'a aussi surprise, car elle lève le voile sur l'hésitation qu'a le lecteur entre réalité ou hallucinations.
C'est une chose que j'ai beaucoup par ailleurs, est-elle en train de rêver, d'imaginer tout ça ? Ou est-ce bien réel et dans ce cas-là, pourquoi ?
J'ai trouvé l'idée de départ excellente mais j'ai loupé le coche et j'en suis la première désolée.
Difficile pour moi de vous recommander cette lecture mais si vous voulez vous mettre à lire Stephen King, ce n'est assurément pas celui-ci que je conseillerais.
