Waaaaah, j'ai finis cette lecture il y a quelque temps, maintenant. Pourtant je suis encore touché par cette histoire.
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J'ai souvent souligner la capacité de King à intégrer la fiction à la réalité et inversement. Et /ce/ roman en est la parfaite démonstration. Ici King utilise tout au long de son histoire une narration à la première personne. Promis, ça fait son effet. Cette part de réalité, est tellement parfaite, innocente, tellement représentative de cette fin d'innocence enfantine pré-adolescence.
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C'est un roman court, c'est juste ce moment de vie ou on bascule d'enfant à adolescent, avec une touche de King malgré tout. Il y a ces moments légèrement angoissant, oui on ce détend. On reste sur de la littérature jeunesse quand même donc c'est pas non plus la folie des nuits blanches après lecture.
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On retient cette part de réalité et d'innocence, et de fragilité, propre à cette période entre la fin de l'enfance et le début de l'adolescence. Tout en intimité en quelque sorte, comme si on pénétrait un cercle de privilégiés.
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