Marche ou crève

L'idée de départ était intéressante, une marche qui ne s'arrête que lorsqu'il n'en reste plus qu'un. Je m'attendais à une réflexion sur le dépassement de soi, sur la solidarité, l'individualisme. Il y avait un peu de ça, mais un petit peu. Il fallait donc s'intéresser aux effets du "Dieu Foule", la foule donc, qui accompagne les coureurs tout au long de leur parcours, ainsi que le propose le résumé. Mais je n'ai pas réellement saisi où Stephen King voulait en venir. Et je n'ai pas réussi à répondre à la question : "pour quelle victoire?". Dommage, une nouvelle déception concernant cet auteur.
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