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Critique de JeromeJeanJacques
Simetierre fut une belle déception ; en partie, à cause de mon endoctrinement des oeuvres d'épouvante au cinéma.
Je reproche son classicisme au roman de Stephen King : la banalité du scénario, et la composition même du texte. On anticipe le réveil des morts à des miles ; le coup de la famille « middle-class » qui s'installe dans une maison en province, construite sur un cimetière, c'est du déjà-vu.
King nous balade en longueur alors que l'on anticipe tout dès le début ; c'est ce qu'on fait de plus désagréable dans la littérature de fiction ; voir le livre s'attarder alors que tout est prévisible. de la réaction des personnages, jusqu'aux apparitions — censées, justement, nous faire la surprise.
Je lui reproche une deuxième chose : ce sont les onomatopées de bande dessinée en plein dans le texte. Cela m'agace en littérature, mais encore plus en fiction ; car, l'auteur peut se permettre plus de libertés avec le réel, il a suffisamment de pouvoir avec les mots et les phrases. Alors quand je vois des « aaaaarrggghhhh » de mourant, je ne peux pas m'empêcher de penser que l'auteur a bâclé le passage.
Si je suis aussi sévère, c'est parce que les précédents livres Stephen King que j'ai lu, m'ont laissé un très bon souvenir, et que je croyais trouver ici l'apothéose de son oeuvre. Au lieu de ça , ce livre est un amas de clichés « horrifiques », dont je n'ai pu lire plus de la moitié.
Je reproche son classicisme au roman de Stephen King : la banalité du scénario, et la composition même du texte. On anticipe le réveil des morts à des miles ; le coup de la famille « middle-class » qui s'installe dans une maison en province, construite sur un cimetière, c'est du déjà-vu.
King nous balade en longueur alors que l'on anticipe tout dès le début ; c'est ce qu'on fait de plus désagréable dans la littérature de fiction ; voir le livre s'attarder alors que tout est prévisible. de la réaction des personnages, jusqu'aux apparitions — censées, justement, nous faire la surprise.
Je lui reproche une deuxième chose : ce sont les onomatopées de bande dessinée en plein dans le texte. Cela m'agace en littérature, mais encore plus en fiction ; car, l'auteur peut se permettre plus de libertés avec le réel, il a suffisamment de pouvoir avec les mots et les phrases. Alors quand je vois des « aaaaarrggghhhh » de mourant, je ne peux pas m'empêcher de penser que l'auteur a bâclé le passage.
Si je suis aussi sévère, c'est parce que les précédents livres Stephen King que j'ai lu, m'ont laissé un très bon souvenir, et que je croyais trouver ici l'apothéose de son oeuvre. Au lieu de ça , ce livre est un amas de clichés « horrifiques », dont je n'ai pu lire plus de la moitié.
