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Critique de Mero
Un deuxième tome entièrement centré sur l'insipide et très effacé Kaname. L'auteur consacre ses cases aux événements déclencheurs de son traumatisme sur 6 chapitres. A la fin on n'est vraiment plus très sûr de comprendre le rapport que pouvait entretenir sa mère et ses amants et la manière dont le pauvre Kaname a été impliqué là dedans, faisant de lui un véritable obsédé sexuel. Une histoire à tirer par les cheveux, des dialogues planplan et une fin attendue.
