AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Il était une fois mon meurtre (26)

Depuis que j'ai perdu l'usage de la parole, j'ai énormément à raconter.
Commenter  J’apprécie          172
Comme le dit l'adage, on est pas obligé de participer à toutes les disputes auxquelles on est invité.
Commenter  J’apprécie          140
Imaginez qu'on vous glisse des lames de rasoir dans la gorge comme si c'étaient de simples gouttes de miel.
Commenter  J’apprécie          120
Je me disais que je ne faisais pas une croix sur la vie. Pouvait-on continuer à parler de vie, dans mon état ? Je pouvais respirer par moi-même. Mon coeur battait. Mon cerveau fonctionnait. Mais je n'avais pas l'impression d'être vivant. Il me manquait, entre autres, un élément primordial, vital : qu'on s'aperçoive que j'existais.
Commenter  J’apprécie          120
"On ne laisse pas partir les gens qu'on aime. On se bat pour les garder. À eux de choisir s'ils veulent de nous ou pas." (p. 84)
Commenter  J’apprécie          120
La plus légère caresse sur mon visage m'apportait autant de satisfaction qu'un massage intégral dans mon ancienne vie.
Commenter  J’apprécie          110
Everyone thinks that behind my eyes there is darkness.
They think that when I wake up they will have to fill me in on months of lost time. They believed, of course, that I would wake up. At first. But after a year or so had passed – when I heard nurses discussing their New Year’s Eve plans for the second time since I’d been in this place – I knew. My family were turning. When they visited my hospital bed, I picked it up in their voices. Hope and determination were becoming weariness and doubt.
Hope For An End – whatever end – raced head-to-to-head with Hope For A Sign Of Life. Would the race have been run differently, if they’d known the truth about what happened when the starting gun was fired? Who knows? As it was, Hope For An End was edging it.
And who can blame them? I must look totally lifeless. I can’t talk, I can’t move. I can’t tell them that I hear every word they say.
My life as I knew it was stopped shortly after I turn twenty-seven. Now hours, days and months merge together into a trick of time, so all I know for sure is that I’ve been conscious for two Christmases- you can’t miss it when carol singers visit each bed on the ward – and I assume that makes the length of my imprisonment a couple of years so far. The words the doctors and nurses use include ‘coma’ and ‘vegetative state’. They have no idea that I am awake; no tests show them the activity in my brain that I’m desperate for them to see.
Commenter  J’apprécie          60
Comme le dit l'adage, on n'est pas obligé de participer à toutes les disputes auxquelles on est invité. Les derniers temps nous n'avions pas respecté cette règle. Tout donnait lieu à une discussion compliquée. Je ne me rappelais pas tous les détails - seulement mon agacement, une sensation d'épuisement et de tristesse.
Commenter  J’apprécie          50
Ça ne sert à rien de trop s’inquiéter. Entretiens tes amitiés. Essaie toujours de voir les choses du point de vue des autres. Autorise-toi à tomber amoureux, mais n’oublie pas : il faut faire confiance à ceux qu’on aime. La confiance, c’est la clé de voûte d’une relation.
Commenter  J’apprécie          30
Alex, un jeune homme est perçu comme un légume, depuis qu'il est à l'hôpital suite à un terrible accident d'escalade. Malgré cela sa famille (son père et sa sœur) continuent a venir régulièrement ainsi que sa petite amie (Béa) et un couple d'amis. Mais ce que personne ne sais, c'est qui entent tout et ressent les sensations. il est tiraillé entre le désir de partir pour arrêter d'être dans cet état là, ou se battre. Mais cela fait plus de 18 mois qu'il est ainsi que ses proches se posent sérieusement la question. Cependant quand il se rend compte que Béa, se sent épiée et suivie et que son accident n'en est peut être pas un, il sait qu'il doit tout faire pour élucider les mystères avant qu'il soit débranché...
Un roman bien écrit mais qui possède parfois quelques longueurs. L'autrice parvient a conserver le suspens malgré l'absence de réel dialogue entre Alex et sa famille.
Commenter  J’apprécie          20





    Autres livres de Emily Koch (1) Voir plus

    Lecteurs (354) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

    Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

    seul
    profond
    terrible
    intense

    20 questions
    2873 lecteurs ont répondu
    Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

    {* *}