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Critique de Gaoulette
Un nouveau maitre du polar débarque sur le marché des livres.
La vengeance est un plat qui se mange froid, voir glaciale. Deuxième tentative pour Mattias Koping et second coup de coeur. Quand on croit avoir tout saisi, l'auteur nous offre des revirements de situations et nous offre une seconde fois un final choc et déconcertant.
Avec Mattias Koping le monde des bisounours n'existe pas. Il n'y a pas les méchants d'un côté et les gentils de l'autre. La noirceur peut être dans chaque individu. Je le précise avec Mattias Koping c'est le male alpha qui est le mal personnifié. Les femmes en prennent malheureusement pour leur grade. Et il va très loin dans leur quotidien : viol, torture, proxénétisme, drogue, crime de guerre, pédophilie, massacre de masse… Personne n'est épargné et une scène d'horreur m'a chaviré le coeur.
Avec le Manufacturier, l'auteur nous propose un face à face de titan mais il joue avec nos nerfs et décide d'en faire à sa sauce. On pourrait être déçu mais David contre Goliath n'est pas si évident que cela. Un combat perdu d'avance…. le lecteur se retrouve même à espérer qu'un monstre plutôt qu'un autre gagne sa rédemption.
Voici un sacré polar sous fond de faits historiques et divers rondement mené. On refuse même au fur et à mesure que l'histoire avance une évidence. Pourtant l'auteur sème des indices mais moi lectrice je suis restée cloitrée dans mes cases bien définies.
De plus, malgré que ce soit une fiction, l'auteur met en lumière certains combats perdus. Cela nous brise le coeur mais on accepte sans broncher le final proposé par l'auteur.
Par contre, j'aurais aimé un chapitre explicatif pour savoir où commencer la fiction. L'auteur aborde la guerre d'Ex Yougoslavie mais aussi les miliciens qui ont disparu dans la nature. J'ai d'ailleurs voulu en savoir plus sur ce pan de l'histoire car je n'avais que 8 ans à l'époque. Une envie d'approfondir ce qu'il a pu se passer.
En tout cas un énorme coup de coeur. Un roman noir qui se lit très vite tellement qu'il est addictif. Dévoré en 2 jours. Il me tarde le prochain Mattias Koping je suis devenue fan grâce à ma swappeuse.
La vengeance est un plat qui se mange froid, voir glaciale. Deuxième tentative pour Mattias Koping et second coup de coeur. Quand on croit avoir tout saisi, l'auteur nous offre des revirements de situations et nous offre une seconde fois un final choc et déconcertant.
Avec Mattias Koping le monde des bisounours n'existe pas. Il n'y a pas les méchants d'un côté et les gentils de l'autre. La noirceur peut être dans chaque individu. Je le précise avec Mattias Koping c'est le male alpha qui est le mal personnifié. Les femmes en prennent malheureusement pour leur grade. Et il va très loin dans leur quotidien : viol, torture, proxénétisme, drogue, crime de guerre, pédophilie, massacre de masse… Personne n'est épargné et une scène d'horreur m'a chaviré le coeur.
Avec le Manufacturier, l'auteur nous propose un face à face de titan mais il joue avec nos nerfs et décide d'en faire à sa sauce. On pourrait être déçu mais David contre Goliath n'est pas si évident que cela. Un combat perdu d'avance…. le lecteur se retrouve même à espérer qu'un monstre plutôt qu'un autre gagne sa rédemption.
Voici un sacré polar sous fond de faits historiques et divers rondement mené. On refuse même au fur et à mesure que l'histoire avance une évidence. Pourtant l'auteur sème des indices mais moi lectrice je suis restée cloitrée dans mes cases bien définies.
De plus, malgré que ce soit une fiction, l'auteur met en lumière certains combats perdus. Cela nous brise le coeur mais on accepte sans broncher le final proposé par l'auteur.
Par contre, j'aurais aimé un chapitre explicatif pour savoir où commencer la fiction. L'auteur aborde la guerre d'Ex Yougoslavie mais aussi les miliciens qui ont disparu dans la nature. J'ai d'ailleurs voulu en savoir plus sur ce pan de l'histoire car je n'avais que 8 ans à l'époque. Une envie d'approfondir ce qu'il a pu se passer.
En tout cas un énorme coup de coeur. Un roman noir qui se lit très vite tellement qu'il est addictif. Dévoré en 2 jours. Il me tarde le prochain Mattias Koping je suis devenue fan grâce à ma swappeuse.
