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Critique de sweetie
Sous le pseudonyme de John Lago, un tueur à gages professionnel s'emploie à rédiger un guide de survie à l'usage des jeunes stagiaires. Car, dans son métier, il a élevé cet art à son plus haut niveau, s'infiltrant dans les administrations sous cet aspect pour mieux cibler sa proie et l'exterminer sans trop de dommages collatéraux.
C'est le narrateur de ce roman noir teinté d'humour, noir comme il se doit, qui se confesse à son lectorat de tous les crimes qu'il a commis depuis qu'il a été recueilli, pauvre orphelin, par Bob, son mentor et son employeur. Tel Oliver Twist, il sera formé dans un but précis, celui ici de tuer pour les fins de son « ange gardien ».
Truffé de références cinématographiques (titres de films, scénarios, dialogues, personnages, acteurs), Un stagiaire presque parfait s'avère une lecture agréable, malgré l'extrême violence omniprésente et une tonne d'invraisemblances. Même s'il nous avise dans son guide des incohérences et exagérations véhiculées par le cinéma hollywoodien, l'auteur ne s'est pas gêné d'en ajouter une couche pour son propre héros, surtout vers la fin. Trois étoiles, donc, pour ce dernier aspect décevant.
C'est le narrateur de ce roman noir teinté d'humour, noir comme il se doit, qui se confesse à son lectorat de tous les crimes qu'il a commis depuis qu'il a été recueilli, pauvre orphelin, par Bob, son mentor et son employeur. Tel Oliver Twist, il sera formé dans un but précis, celui ici de tuer pour les fins de son « ange gardien ».
Truffé de références cinématographiques (titres de films, scénarios, dialogues, personnages, acteurs), Un stagiaire presque parfait s'avère une lecture agréable, malgré l'extrême violence omniprésente et une tonne d'invraisemblances. Même s'il nous avise dans son guide des incohérences et exagérations véhiculées par le cinéma hollywoodien, l'auteur ne s'est pas gêné d'en ajouter une couche pour son propre héros, surtout vers la fin. Trois étoiles, donc, pour ce dernier aspect décevant.
