C'est encore un tome très dense que nous livre ici
Mizuho Kusanagi.
La bataille touche à sa fin
et c'est Hak qui, pour ainsi dire, donne le coup de grâce à l'ennemi en abattant le cruel général qui menait les opérations sur le champ de bataille. Ca va presque trop vite par rapport à l'impitoyable menace qu'il représentait dans le précédent tome.
Les retrouvailles entre Hak et Yona sont très touchantes et amusantes (l'art d'avancer sans avancer d'un pouce), mais la manière dont Hak, plus mort que vif, se jette aux pieds de Soo-won pur lui remettre la milleplante qu'il a eu tellement de mal à rapporter est bien plus bouleversante.
Puis, retour à la capitale où Yeon et Mei Niang se retrouvent aux prises avec l'ennemi qui s'est infiltré dans la ville. Mais tous leurs ennemis ne leur veulent pas forcément du mal...
La frontière entre les gentils et les méchants est de plus en plus floue et ce sont ces ambiguïtés qui donnent toute sa complexité à l'intrigue.
Le tome s'achève sur un épisode bonus qui met en scène les personnages du manga dans un contexte tout à fait extérieur à l'histoire de Yona, Princesse de l'Aube.
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