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Critique de Elamia
Exercice difficile pour moi de parler d'une BD, et encore plus d'une BD jeunesse.
Je l'ai cochée dans la sélection de Masse critique car, comme toute ancienne cavalière, je connaissais la fabuleuse histoire de Jappeloup et Pierre Durand. Ce petit cheval, qui a amené son cavalier au plus haut niveau, jusqu'aux jeux olympiques de Séoul en 1992. Quel beau couple ils formaient ces deux là ! Assez peu médiatisés finalement, malgré leurs performances et humbles dans leur succès, je les ai toujours admirés.
J'imagine que la sortie d'une BD sur le sujet fait directement écho à la sortie du film avec Guillaume Canet. Film que je n'ai d'ailleurs pas vu et que je ne regarderai pas pour diverses raisons. En revanche, l'idée de connaître l'histoire de Jappeloup sous un nouveau jour me tentait énormément.
Je suis un peu déçue par la tonalité très jeunesse de l'histoire. Je ne m'attendais pas à des dialogues très poussés ni très profonds, mais là c'est vraiment un peu limite. de plus, pour un livre sur le thème de l'équitation, le jargon utilisé est vraiment très vulgarisé, peu professionnel, et finalement, le milieu du cheval est représenté en surface, sans vraiment de détails. Bien que l'on retrouve, comme dans les romans de Walter Farley, des personnages prétentieux et ambitieux, qui sont prêts à tout pour évincer un rival potentiel, les figures censées être amicales ne sont vraiment pas attachantes. Il est certain que mon avis ici est celui d'une adulte, dont la passion pour les chevaux s'est étiolée au fil du temps. Peut-être que si je l'avais lu des années en arrière, j'aurais adoré.
Les dessins sont plutôt agréables à regarder, aérés, ne sont pas saturés de détails et les couleurs sont plutôt vives et dynamiques. de toute façon, je ne suis pas la mieux placer pour parler du côté artistique donc je laisserai le loisir à des yeux plus expérimentés d'en juger. Bien que ça ne l'ait pas fait du tout de mon côté, je reste convaincue que ce support pourrait convenir à de jeunes lecteurs, cavaliers en herbe, ou pas.
Je pense que je suis décidément trop vieille pour de telles lectures. Cette BD n'a malheureusement pas su raviver mes souvenirs d'enfance et toutes les heures que j'ai pu passer au centre équestre. En revanche, je pense qu'elle fera une heureuse, puisque je compte l'offrir à ma petite cousine, aussi fan des chevaux que je l'étais moi-même à son âge.
Je l'ai cochée dans la sélection de Masse critique car, comme toute ancienne cavalière, je connaissais la fabuleuse histoire de Jappeloup et Pierre Durand. Ce petit cheval, qui a amené son cavalier au plus haut niveau, jusqu'aux jeux olympiques de Séoul en 1992. Quel beau couple ils formaient ces deux là ! Assez peu médiatisés finalement, malgré leurs performances et humbles dans leur succès, je les ai toujours admirés.
J'imagine que la sortie d'une BD sur le sujet fait directement écho à la sortie du film avec Guillaume Canet. Film que je n'ai d'ailleurs pas vu et que je ne regarderai pas pour diverses raisons. En revanche, l'idée de connaître l'histoire de Jappeloup sous un nouveau jour me tentait énormément.
Je suis un peu déçue par la tonalité très jeunesse de l'histoire. Je ne m'attendais pas à des dialogues très poussés ni très profonds, mais là c'est vraiment un peu limite. de plus, pour un livre sur le thème de l'équitation, le jargon utilisé est vraiment très vulgarisé, peu professionnel, et finalement, le milieu du cheval est représenté en surface, sans vraiment de détails. Bien que l'on retrouve, comme dans les romans de Walter Farley, des personnages prétentieux et ambitieux, qui sont prêts à tout pour évincer un rival potentiel, les figures censées être amicales ne sont vraiment pas attachantes. Il est certain que mon avis ici est celui d'une adulte, dont la passion pour les chevaux s'est étiolée au fil du temps. Peut-être que si je l'avais lu des années en arrière, j'aurais adoré.
Les dessins sont plutôt agréables à regarder, aérés, ne sont pas saturés de détails et les couleurs sont plutôt vives et dynamiques. de toute façon, je ne suis pas la mieux placer pour parler du côté artistique donc je laisserai le loisir à des yeux plus expérimentés d'en juger. Bien que ça ne l'ait pas fait du tout de mon côté, je reste convaincue que ce support pourrait convenir à de jeunes lecteurs, cavaliers en herbe, ou pas.
Je pense que je suis décidément trop vieille pour de telles lectures. Cette BD n'a malheureusement pas su raviver mes souvenirs d'enfance et toutes les heures que j'ai pu passer au centre équestre. En revanche, je pense qu'elle fera une heureuse, puisque je compte l'offrir à ma petite cousine, aussi fan des chevaux que je l'étais moi-même à son âge.
