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Critique de ProfesseurDan
Dans ce roman, Catherine Laborde se laisse aller à quelques confidences (je suppose) sur sa propre vie, sur le Bordeaux de son enfance, avec tantôt la joie de retrouver Bordeaux dans le présent et tantôt la tristesse de ne plus retrouver le Bordeaux d'autrefois, le tout avec une plume pleine de sensibilité.
J'ai l'impression, par endroits, que l'histoire de l'enfant n'est qu'un prétexte pour pouvoir justifier la recherche de son "elle" profond, mais elle reste toutefois en même distrayante, grâce au langage "fleuri" du petit garçon et émouvante grâce à l'histoire personnelle du petit garçon.
Ce roman, en bref, est un beau voyage dans un Bordeaux à la fois temporel et intemporel : temporel, car les traces du passé s'effacent peu à peu et intemporel, car les souvenirs immatériels sont toujours présents, à jamais.
Chaque expatrié, de quelque ville que ce soit, est sujet à ce genre de nostalgie, ce qui fait de ce roman, un roman universel.
Lien : http://leslecturesduprofesse..
J'ai l'impression, par endroits, que l'histoire de l'enfant n'est qu'un prétexte pour pouvoir justifier la recherche de son "elle" profond, mais elle reste toutefois en même distrayante, grâce au langage "fleuri" du petit garçon et émouvante grâce à l'histoire personnelle du petit garçon.
Ce roman, en bref, est un beau voyage dans un Bordeaux à la fois temporel et intemporel : temporel, car les traces du passé s'effacent peu à peu et intemporel, car les souvenirs immatériels sont toujours présents, à jamais.
Chaque expatrié, de quelque ville que ce soit, est sujet à ce genre de nostalgie, ce qui fait de ce roman, un roman universel.
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