Si
Ionesco avait écrit les romans de
Garcia Marquez avec l'atrocité, onirique mais sanguinaire, de monstres qui n'existent que dans les tourments nocturnes de l'enfance pré-verbale. Ah non, ils existent aussi comme Guides dans ce pays, soutenus par les anciens maîtres qui se réjouissent d'entretenir leur "tropicalisme" de sang, de viol, de vanité et d'obéissance. Roman magistral, gifle indélébile.
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