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Critique de karen_univers
Une petite romance de noël chick lit simple, rapide à lire et sans prise de tête. Je suis tombée par hasard dessus dans un magasin et appréciant les romances de noël - surtout en cette période de fêtes - je l'ai pris sans me poser trop de question. J'ai trouvé la couverture rigolote et un petit résumé qui annonçait déjà un peu la couleur sur ce qui m'attendait.
Nadia Lakhdari King est une auteure québécoise et j'ai beaucoup apprécié son avant propos, où elle nous prévient qu'entre le français canadien et notre français il y a quelques petites subtilités et différences qui peuvent perturber un lecteur français. Au moins, nous sommes prévenus que certaines expressions pourront nous sembler "étranges", ainsi, nous ne pouvons pas non plaindre des expressions québécoises qu'on est amenés à croiser au fil de la lecture. Très sincèrement, pour avoir déjà lu d'autres romans d'auteurs québécois, j'ai trouvé que l'écriture de Nadia n'était pas lourde en expression typique. J'ai lu bien pire ! Même pour un lecteur non familier, N'oublie pas mon petit soulier est très accessible.
On découvre Émilie, une jeune trentenaire qui voit son noël perturbé. Cette année, tout ce ne se déroulera pas comme tous les ans : ses parents partent faire une croisière et ils ne fêteront pas noël avec leurs enfants. Émilie est pourtant bien décidé à maintenir le noël traditionnel familial et prend les choses en main. Cependant, elle se rend compte que les choses sont bien plus compliquées qu'elles n'ont semblé l'être lorsque c'était ses parents qui s'occupaient de tout.
Le roman est très court : 175 pages exactement. C'est donc une petite lecture qui permet de passer un petit moment tranquille et sans prise de tête. Très chick-lit et un brin humoristique, on suit Émilie qui enchaîne les galères et qui se retrouve à devoir gérer beaucoup de choses seule. C'est d'ailleurs cette franche solitude qui va la pousser à remettre en question certains aspects de sa vie. Bien que la psychologie des personnages ne soit pas poussé autant à fond qu'on pourrait le trouver dans un roman de +300 pages, je me suis retrouvée moi aussi à me demander quelle allait être la finalité de ce roman. On se retrouve assez facilement plongé dans l'histoire, on se prête au jeu. Et puis, j'ai bien aimé la façon dont Émilie raconte son histoire, tout en s'adressant au lecteur. On se sent davantage inclue dans le récit.
L'histoire se déroule sur deux jours : les 24 et 25 décembre. On est au centre même de la fête de Noël. On assiste à la préparation du repas, à la décoration du sapin... La fin est loin d'être une grande surprise puisque le principe d'une romance de noël c'est que ça se termine bien, mais Nadia joue un peu avec nous car on en vient à douter de certains points... Mais j'ai trouvé la finalité très belle, simple, et parfaite pour ce court roman ; on n'en attendait pas moins.
Nadia Lakhdari King est une auteure québécoise et j'ai beaucoup apprécié son avant propos, où elle nous prévient qu'entre le français canadien et notre français il y a quelques petites subtilités et différences qui peuvent perturber un lecteur français. Au moins, nous sommes prévenus que certaines expressions pourront nous sembler "étranges", ainsi, nous ne pouvons pas non plaindre des expressions québécoises qu'on est amenés à croiser au fil de la lecture. Très sincèrement, pour avoir déjà lu d'autres romans d'auteurs québécois, j'ai trouvé que l'écriture de Nadia n'était pas lourde en expression typique. J'ai lu bien pire ! Même pour un lecteur non familier, N'oublie pas mon petit soulier est très accessible.
On découvre Émilie, une jeune trentenaire qui voit son noël perturbé. Cette année, tout ce ne se déroulera pas comme tous les ans : ses parents partent faire une croisière et ils ne fêteront pas noël avec leurs enfants. Émilie est pourtant bien décidé à maintenir le noël traditionnel familial et prend les choses en main. Cependant, elle se rend compte que les choses sont bien plus compliquées qu'elles n'ont semblé l'être lorsque c'était ses parents qui s'occupaient de tout.
Le roman est très court : 175 pages exactement. C'est donc une petite lecture qui permet de passer un petit moment tranquille et sans prise de tête. Très chick-lit et un brin humoristique, on suit Émilie qui enchaîne les galères et qui se retrouve à devoir gérer beaucoup de choses seule. C'est d'ailleurs cette franche solitude qui va la pousser à remettre en question certains aspects de sa vie. Bien que la psychologie des personnages ne soit pas poussé autant à fond qu'on pourrait le trouver dans un roman de +300 pages, je me suis retrouvée moi aussi à me demander quelle allait être la finalité de ce roman. On se retrouve assez facilement plongé dans l'histoire, on se prête au jeu. Et puis, j'ai bien aimé la façon dont Émilie raconte son histoire, tout en s'adressant au lecteur. On se sent davantage inclue dans le récit.
L'histoire se déroule sur deux jours : les 24 et 25 décembre. On est au centre même de la fête de Noël. On assiste à la préparation du repas, à la décoration du sapin... La fin est loin d'être une grande surprise puisque le principe d'une romance de noël c'est que ça se termine bien, mais Nadia joue un peu avec nous car on en vient à douter de certains points... Mais j'ai trouvé la finalité très belle, simple, et parfaite pour ce court roman ; on n'en attendait pas moins.
