On peut s'embarquer avec Lamartine sur sa goelette pour un long périple, de Marseille en Grèce, puis au Liban. Voyage varié dans les vers, la prose, la poésie ou la relation triviale du quotidien. Quand le vent manque, le bâteau s'immobilise et la lectrice languit....Les rencontres sont variées, celle avec lady Stanhope est passionnante ainsi que celle avec l'émir Bechir. le pélerinage sur les lieux saints en
Galilée et à Jérusalem est peut être plus convenu. L'expédition tourne au drame : sa fille Julia qui'l pensait soigner dans le climat doux du Liban meurt.
Le texte est un peu hétéroclite, entre roman, poésie ou politique. On n'est pas forcé de luivre Lamartine d'un seul trait.
Seule déception : j'avais acheté le livre après mon voyage à Plovdiv qui s'enorgueillit du passage de l'auteur et montre la "maison
De Lamartine". Ce dernier fait peu de cas de la ville et la cite à peine!
Lien :
http://miriampanigel.blog.le.. Commenter  J’apprécie         80