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Critique de Galirad
J'ai d'abord cru à un homonyme !
Mais non, il s'agit bien du dernier amoureux en titre de Sophie Marceau et acteur chanceux d'avoir pu incarner au cinéma, Russell Nash, l'antiquaire richissime et représentant l'un des deniers Highlander au monde, en 1986.
Pas mal ! On le disait sensible, cependant je n'aurais pas cru, a priori, qu'il lui soit possible de mettre cette sensibilité-là au service de la littérature.
L'histoire tient la route, elle est bien amenée, bien construite, agréable à lire sans être trop basique, les mots sonnent justes.
Je ne parlerai pas de grand roman mais de roman tout à fait honorable et pourquoi pas prometteur.
Pour aller plus loin, je dirai même qu'il n'a rien à envier à Marc Levy et encore moins à rougir face à cet auteur, que je situerais dans la même veine que lui.
Mais non, il s'agit bien du dernier amoureux en titre de Sophie Marceau et acteur chanceux d'avoir pu incarner au cinéma, Russell Nash, l'antiquaire richissime et représentant l'un des deniers Highlander au monde, en 1986.
Pas mal ! On le disait sensible, cependant je n'aurais pas cru, a priori, qu'il lui soit possible de mettre cette sensibilité-là au service de la littérature.
L'histoire tient la route, elle est bien amenée, bien construite, agréable à lire sans être trop basique, les mots sonnent justes.
Je ne parlerai pas de grand roman mais de roman tout à fait honorable et pourquoi pas prometteur.
Pour aller plus loin, je dirai même qu'il n'a rien à envier à Marc Levy et encore moins à rougir face à cet auteur, que je situerais dans la même veine que lui.
