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Critique de RJuillet
Ce petit immeuble m'a fait penser à un autre sur Barbary Lane, où la reine s'appelait Mme Madrigal et Juliette, Mary-Ann.
Les mêmes espoirs, les mêmes regrets, le même pot de cannabis et la vie qui défile pas toujours comme on le voudrait.
La ressemblance s'arrête là. Cet immeuble-ci est parisien et n'est habité que par des femmes (5 au total), les hommes y sont interdits. Mais elles sont, malgré tout, en quête d'amour, de l'homme idéal et ont même baptisé le chat de l'immeuble, Jean-Pierre (c'est pour dire).
C'est un petit roman feel good, une pointe d'humour, un zeste d'émotion, il est très sympa cet immeuble mais pas tellement réaliste.
Les personnages sont trop caricaturaux pour être attachants et l'histoire est sans surprise car au final, elles n'ont renoncé à rien du tout.
Il ne suffirait pas de grand chose, pourtant,
- changer le titre. A peine, car renoncer, renoncer, faut le dire vite quand même.
- Ou alors faire de ces femmes des combattantes écologistes dans un monde futuriste où le mâle serait une espèce en voie de disparition. Un vrai objectif, avec de vraies questions : l'Homme mérite-t-il d'être sauvé ?
- ça pourrait même finir en apocalypse ou en règne total des amazones si nécessaire.
Bref, un grand roman, un pavé de 600 pages. Mais il faudrait quand même que le titre soit long car sinon je ne pourrai pas valider la lecture du mois.
Conclusion : le feel good faut le consommer à petites doses sinon l'effet peut s'inverser.
Les mêmes espoirs, les mêmes regrets, le même pot de cannabis et la vie qui défile pas toujours comme on le voudrait.
La ressemblance s'arrête là. Cet immeuble-ci est parisien et n'est habité que par des femmes (5 au total), les hommes y sont interdits. Mais elles sont, malgré tout, en quête d'amour, de l'homme idéal et ont même baptisé le chat de l'immeuble, Jean-Pierre (c'est pour dire).
C'est un petit roman feel good, une pointe d'humour, un zeste d'émotion, il est très sympa cet immeuble mais pas tellement réaliste.
Les personnages sont trop caricaturaux pour être attachants et l'histoire est sans surprise car au final, elles n'ont renoncé à rien du tout.
Il ne suffirait pas de grand chose, pourtant,
- changer le titre. A peine, car renoncer, renoncer, faut le dire vite quand même.
- Ou alors faire de ces femmes des combattantes écologistes dans un monde futuriste où le mâle serait une espèce en voie de disparition. Un vrai objectif, avec de vraies questions : l'Homme mérite-t-il d'être sauvé ?
- ça pourrait même finir en apocalypse ou en règne total des amazones si nécessaire.
Bref, un grand roman, un pavé de 600 pages. Mais il faudrait quand même que le titre soit long car sinon je ne pourrai pas valider la lecture du mois.
Conclusion : le feel good faut le consommer à petites doses sinon l'effet peut s'inverser.
