L’année 1947 sera pour Nana de Herrera une année de sollicitations de toutes sortes, gratifiantes, voire valorisantes, qu’elle saura sélectionner selon des critères de temps et d’argent, d’utilité et d’opportunité.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.