On sait que dans l’Égypte ancienne, le chat fut un animal associé au divin et qu'il fût évoqué par maints dessins et statues représentant Bastet, déesse de la Maternité et de la Création. Dès le XVIIIe siècle, Maneki neko, chat en terre cuite, la patte levée, devint l'objet fétiche et porte-bonheur des Japonais. On ne dénombre plus les écrivains pour qui le matou donna matière première à poèmes et à romans : Baudelaire évidemment, Edgar Alla Poe, Colette, Joachim du Bellay, Théophile Gautier, Victor Hugo, Charles Perrault et son chat botté... On en passe, pas forcément des meilleurs.