Le postulat de départ était fait pour me plaire, une rue de Londres, un roman chorale, des mystérieuses cartes postales.
La mise en place est assez longue mais sur un roman de plus de 650 pages avec autant de personnage c'est normal.
Mais passé 300 pages c'était toujours aussi lent et franchement pas très intéressant.
En fait, cette histoire de carte postale est simplement un prétexte parce que les habitants en font peu cas et les situations décrites sont loin d'être captivantes.
Je pense que l'ennui que j'ai ressenti vient du style de l'auteur, très impersonnel, sans humour, pourtant tellement présent dans la culture anglaise, avec peu d'émotions. Il détaille le quotidien de différent personnages aux niveaux de vie et à la culture différents, point, ni plus ni moins.
Commenter  J’apprécie         30