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Critique de IrishStew
Voici le tome 2 de la 1ère saison du Donjon de Naheulbeuk, qui raconte la fin des péripéties du groupe de bras cassés dans cette fameuse tour. C'est l'occasion pour nous, et pour le Nain surtout, de découvrir le paradis des Nains, où lesdits nabots peuvent boire de la bière à volonté sans jamais avoir la gueule de bois, et surtout torturer des Elfes comme bon leur semble.
Je ne vous cache pas qu'après avoir sorti de mes étagères les BDs de PoC et Marion Poinsot, et surtout après les avoir bien dépoussiérées, je me suis remis à écouter la saga audio. Me plongeant alors dans une indescriptible nostalgie, me remémorant mes années passées au lycée, j'ai failli lâcher une petite larme. Je ne peux rien raconter de plus par rapport au tome 1. le groupe de héros... si on peut les appeler héros... a fini par mettre la main sur la fameuse statuette de Gladeulfeurha après avoir amadoué le maître des lieux, Zangdar, qui en fait n'est pas si terrible que ça. le voleur meurt bêtement en tentant d'ouvrir une porte, et par conséquent un ménestrel trouvé dans une taverne rejoint l'aventure. Tous les personnages gagnent un niveau (rappelez-vous que l'ambiance évoque celle des jeux de plateau et des jeux vidéos à la Final Fantasy ou Golden Sun), excepté le Nain.
Comme toujours, les dialogues sont remplis de répliques cultes ("Chaussette!") et me font toujours autant rire, bien que je connaisse la saga par coeur, dans les moindre détails. Vous pourriez vous demander justement si, à force de se frotter au Donjon de Naheulbeuk, l'humour ne finit pas par s'émousser. Eh bien non! Et c'est ça qui est génial, c'est que c'est tellement débile et en même temps tellement bien écrit (parce qu'il y a quand même un souci de cohérence dans l'intrigue, ou alors l'exagération est voulue pour son effet comique), que la saga ne prend pas une ride. C'est un peu le cas avec Kaamelott, pour rester dans le thème de la fantasy médiéval, dont les épisodes des premiers livres sont désormais cultes. John Lang parle avant tout aux geeks connaisseurs du genre, quand il écrit le Donjon de Naheulbeuk. Mais, comme je l'ai dit à propos du tome 1, il reprend tous les clichés nourris par les profanes, et les retourne pour défendre un genre qui, il faut l'avouer, n'a plus rien de nouveau à offrir. Et le pire, c'est que non seulement ça marche, mais c'est que tout le monde en redemande!
Lien : http://lesjeuneslettres.blog..
Je ne vous cache pas qu'après avoir sorti de mes étagères les BDs de PoC et Marion Poinsot, et surtout après les avoir bien dépoussiérées, je me suis remis à écouter la saga audio. Me plongeant alors dans une indescriptible nostalgie, me remémorant mes années passées au lycée, j'ai failli lâcher une petite larme. Je ne peux rien raconter de plus par rapport au tome 1. le groupe de héros... si on peut les appeler héros... a fini par mettre la main sur la fameuse statuette de Gladeulfeurha après avoir amadoué le maître des lieux, Zangdar, qui en fait n'est pas si terrible que ça. le voleur meurt bêtement en tentant d'ouvrir une porte, et par conséquent un ménestrel trouvé dans une taverne rejoint l'aventure. Tous les personnages gagnent un niveau (rappelez-vous que l'ambiance évoque celle des jeux de plateau et des jeux vidéos à la Final Fantasy ou Golden Sun), excepté le Nain.
Comme toujours, les dialogues sont remplis de répliques cultes ("Chaussette!") et me font toujours autant rire, bien que je connaisse la saga par coeur, dans les moindre détails. Vous pourriez vous demander justement si, à force de se frotter au Donjon de Naheulbeuk, l'humour ne finit pas par s'émousser. Eh bien non! Et c'est ça qui est génial, c'est que c'est tellement débile et en même temps tellement bien écrit (parce qu'il y a quand même un souci de cohérence dans l'intrigue, ou alors l'exagération est voulue pour son effet comique), que la saga ne prend pas une ride. C'est un peu le cas avec Kaamelott, pour rester dans le thème de la fantasy médiéval, dont les épisodes des premiers livres sont désormais cultes. John Lang parle avant tout aux geeks connaisseurs du genre, quand il écrit le Donjon de Naheulbeuk. Mais, comme je l'ai dit à propos du tome 1, il reprend tous les clichés nourris par les profanes, et les retourne pour défendre un genre qui, il faut l'avouer, n'a plus rien de nouveau à offrir. Et le pire, c'est que non seulement ça marche, mais c'est que tout le monde en redemande!
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