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Critique de Leschroniquesdekali
Un road trip en Ecosse sur les traces de votre auteur de polar préféré.
C'était le superbe cadeau que Carter, bibliothécaire de son état, avait fait à son petit ami Trevor. Sauf que Carter et Trevor, c'est fini mais plutôt crever que de céder sa place à son insipide remplaçant. Il a son billet et il va en profiter !
Et c'est parti pour un road-trip qui traversera les lieux cultes des romans de la grande Vanessa. le petit groupe d'une vingtaine de plus ou moins fans fait rapidement connaissance, le single malt favorisant les échanges. Carter, programmé pour voyager en solo, se retrouve pourvu d'un voisin de chambrée de dernière minute.
Le mystérieux John, qui travaille dans les assurances, et ne semble pas connaitre grand-chose aux romans de Dame Rayburn.
Alors quand une mort soit disant naturelle suivie d'une disparition surviennent, ça fait frétiller les petites cellules grises de notre équipe de lecteurs et d'enquêteurs en herbe.
Les magnifiques paysages défilent et les catastrophes s'accumulent jusqu'à l'arrivée sur l'île où réside notre célèbre auteure, dans un manoir lugubre de chez lugubre, point d'orgue de ce voyage plein d'inattendus.
Voilà un roman qui tombe à pic, absolument de saison lors d'un automne pluvieux et venteux écossais. L'auteur, le vrai, cette fois-ci, Josh Lanyon, nous emmène visiter les terres d'Ecosse, décrites avec précision, le voyage est assuré.
Nos voisins de road-trip sont à l'image de ceux que l‘on peut imaginer dans un bon polar : les deux soeurs pipelettes, la mère autoritaire et son fils soumis, un petit couple d'enseignants, l'ex et le nouveau petit ami et l'inconnu mystérieux. La dose de parquet grinçant, de portes qui claquent et d'indices subtilement glissés font de ce roman un parfait « Whodunit ».
Ce roman associe tous les bons ingrédients pour en faire un polar immersif type Cluedo grandeur nature. La plume de l'auteur est telle qu'on s'assimile rapidement au héros, Carter, pour mener l'enquête. Il a ce côté maladroit, drôle et sarcastique qui fait que je l'ai rapidement apprécié, ses répliques me collant le sourire et ses déductions me faisant cogiter.
C'était le superbe cadeau que Carter, bibliothécaire de son état, avait fait à son petit ami Trevor. Sauf que Carter et Trevor, c'est fini mais plutôt crever que de céder sa place à son insipide remplaçant. Il a son billet et il va en profiter !
Et c'est parti pour un road-trip qui traversera les lieux cultes des romans de la grande Vanessa. le petit groupe d'une vingtaine de plus ou moins fans fait rapidement connaissance, le single malt favorisant les échanges. Carter, programmé pour voyager en solo, se retrouve pourvu d'un voisin de chambrée de dernière minute.
Le mystérieux John, qui travaille dans les assurances, et ne semble pas connaitre grand-chose aux romans de Dame Rayburn.
Alors quand une mort soit disant naturelle suivie d'une disparition surviennent, ça fait frétiller les petites cellules grises de notre équipe de lecteurs et d'enquêteurs en herbe.
Les magnifiques paysages défilent et les catastrophes s'accumulent jusqu'à l'arrivée sur l'île où réside notre célèbre auteure, dans un manoir lugubre de chez lugubre, point d'orgue de ce voyage plein d'inattendus.
Voilà un roman qui tombe à pic, absolument de saison lors d'un automne pluvieux et venteux écossais. L'auteur, le vrai, cette fois-ci, Josh Lanyon, nous emmène visiter les terres d'Ecosse, décrites avec précision, le voyage est assuré.
Nos voisins de road-trip sont à l'image de ceux que l‘on peut imaginer dans un bon polar : les deux soeurs pipelettes, la mère autoritaire et son fils soumis, un petit couple d'enseignants, l'ex et le nouveau petit ami et l'inconnu mystérieux. La dose de parquet grinçant, de portes qui claquent et d'indices subtilement glissés font de ce roman un parfait « Whodunit ».
Ce roman associe tous les bons ingrédients pour en faire un polar immersif type Cluedo grandeur nature. La plume de l'auteur est telle qu'on s'assimile rapidement au héros, Carter, pour mener l'enquête. Il a ce côté maladroit, drôle et sarcastique qui fait que je l'ai rapidement apprécié, ses répliques me collant le sourire et ses déductions me faisant cogiter.
