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Critique de BazaR


Boh ! Ça valait vraiment la peine de céder aux fans et de se lancer dans une suite ?
Ben carrément !

Rémi Guérin et Guillaume Lapeyre réussissent à relancer la machine. La porte était restée entrouverte et on sentait bien que la volaille noire n'avait pas dit son dernier mot. Il aurait limite orchestré son arrestation que je n'en serais pas plus surpris que ça. Black Fowl, c'est le Kasparov de la machination diabolique. Il a 25 coups d'avance et a prévu une riposte adaptée à chaque manoeuvre de l'adversaire. Et ses alliés ne sont pas des manches non plus.
Notre ménage à trois de héros s'en va vaillamment à la recherche d'une lettre d'importance. Et leur humour est de retour pour ma plus grande joie. Jules verne est définitivement taré, Conan Doyle se fait très affuté dans ses déductions et toujours aussi guimauve devant la séduisante et dangereuse Amelia Earhart.

Et on a la joie d'aller se balader dans la Ville Lumière après un voyage en train-canon. Ah, Paris… ses monuments, ses usines, son atmosphère plus polluée que le cul d'un camion Diesel des années 1960. Sympa mais masque à gaz indispensable.
Et donc de nouveaux personnages bien frenchie se voient détournés de leur condition historique. Il y a du voleur gentleman et de l'écrivain républicain au menu.

Mais ça va nous mener où, tout ça ? Hein, dites.
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