Mais l'auteur, une fois ce ton dogmatique adopté, ne le lâche plus. Péremptoire, il est perclus de certitudes et, tout du long, soutient des vérités sur les genres et les registres, les possibilités des uns et les limites des autres. Ce ton m'a vite fatigué. J'ai en ai même perdu le fil de la démonstration. Celle-ci est d'ailleurs parfois noyée dans la parfaite maîtrise que l'auteur étale affiche de son sujet. Il connaît l'oeuvre de PKD sur les bout des doigts, des romans les plus fameux aux nouvelles les plus confidentielles, et propose de relire chaque texte à la lumière de la philosophie et sous le prisme de
Descartes ou Locke.
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