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Critique de LadyRomance


Les larmes de la déesse maorie est le dernier tome de la trilogie maorie de Sarah Lark.
J'ai été heureuse de retrouver les familles et leurs descendants qui vivent à nouveau bien des aventures en ce début du XXè siècle dans les beaux paysages de la Nouvelle-Zélande. J'ai beaucoup aimé aussi qu'une bonne partie du roman se déroule en Afrique du Sud lors de la Guerre des Boers qui m'a permis de découvrir ce lieu et cet épisode historique très intéressant dont l'aspect est semblable à plusieurs égards à celui des deux guerres mondiales quelques décennies plus tard.
Ce que j'ai apprécié également, c'est qu'un des personnages principaux soit un certain Richard Peace, un pionnier Néo Zélandais de l'aéronautique ayant réellement existé. Un des premiers à avoir volé dans une machine dans les airs.
Cependant, j'ai moins aimé les intrigues amoureuses que dans les deux précédents tomes et ai trouvé le roman un peu long avec ses 647 pages. En revanche, j'apprécie toujours autant la place que Sarah Lark donne aux femmes dans ses oeuvres avec des personnages féminins forts. C'est quand même le pays dans lequel les femmes ont reçu de par leur détermination le droit de vote dès 1893 et le droit d'étudier à l'université par la suite dont peut bénéficier Atamarie, l'un des personnages principaux du roman. Il faut dire aussi que l'influence du peuple maorie y est pour beaucoup car la place et le rôle de la femme y étaient relativement différents à l'époque par rapport aux conventions à respecter chez les irlandais ou les anglais, les femmes maories étant plus libres. C'est d'ailleurs toujours un plaisir pour moi de retrouver ce peuple ancestral maorie avec son langage, ses croyances et son mode de vie.
Les larmes de la déesse maorie est un roman d'aventure et d'amour qui laisse la place belle à L Histoire et au dépaysement total qui permet de s'instruire tout en s'évadant venant terminer une formidable saga.
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