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Kevin, fils de Lizzie, jeune docteur enchaînant les conquêtes, fuit le pays est s'engage dans l'armée anglaise afin de fuir sa maîtresse enceinte, Juliette.
Amouraché par la jeune fille son frère, Patrick, la demande en mariage afin d'offrir un nom à l'enfant et le faire passer pour sien.
Atamarie, première femme à être admise à l'école d'ingénieur, ne rêve que d'une chose: Voler.C était sans compter sur la rencontre d'un drôle d'oiseau: Richard Pearse, qui mettra ses rêves à rudes épreuves.


Les larmes de la déesse Maorie de Sarah Lark.

3e tome tomes de la trilogie kaurie, ce roman peut ce lire sans avoir lue les autres tomes, car Ce tome met en scène une nouvelles génération des familles concernées de nouveaux personnages plus ou moins exotiques.
Ce tome met du baume au coeur, car même si. Classé dans le dramatique, la fin est comme on les aime, l'amour triomphe et le méchant paie.
L'ennuie m'est parfois tombé dessus et j ai lu le roman très lentement car une certaine redondance dans le schéma d'écriture de l'auteur est ressemblant au tome précédent et nous gâche la surprise de certain événement.
Malgré cela je n'en attendais ni plus, ni moins de se roman et cela a été à plaisir de lecture et de découverte. Car comme dans les deux autres tomes, ont découvre de nouvelle chose, comme là guerres des Boers en Afrique du Sud.
Toujours avec la même recette: amour, trahison , exotisme... Sarah Lark nous offre de l évasion a quiconque veut plonger dans
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Les larmes de la déesse Maorie est le troisième tome de la trilogie Kauri. Il n'est pas nécessaire d'avoir lu les tomes précédents car chacun d'entre eux concerne une génération différente.


Dans cet opus, il s'agit d'Antamarie et de son amie Roberta. Kevin, l'oncle d'Atamarie, est un personnage central de l'histoire. J'ai un gros faible pour ce tome. En effet, je me suis passionnée pour les intrigues amoureuses de Kevin. Ce sont elles qui vont diriger sa vie, allant même jusqu'à le faire s'engager dans la guerre des Boers, en Afrique du Sud.


J'ai beaucoup aimé l'ambivalence de Kevin : tour à tour séducteur, puis aimant, mais aussi apportant une touche d'humanité dans cette guerre menée par les Britanniques. Il n'a pas toujours un comportement de gentleman mais pourtant, je ne lui en ai jamais voulu longtemps.


Le rythme de Les larmes de la déesse Maorie est très soutenu. Il s'étend sur la période de 1899 à 1904. Il dépeint la guerre et décrit les croyances des habitants d'Afrique du Sud. J'ai trouvé ce récit captivant et passionnant. Je n'avais aucune connaissance sur ce sujet et le thème de l'esclavage y est traité de manière subtile. Il montre aussi que dans toutes les guerres, les femmes sont en première ligne. Il décrit de quelle manière, les envahisseurs se pensent légitimes et que toutes les parties prenantes au combat pensent leur cause juste. Il s'agit d'une guerre entre l'armée britannique et les colons néerlandais, les Boers, et au milieu, se trouvent les esclavages noirs. Sarah Lark ...



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Superbe fin pour cette trilogie qui nous a plongé dans l'histoire maorie pendant plus de 2000 pages.

Les personnages principaux de ce troisième tome sont les petits enfants de Lizzie et Michael, à l'aube de l'âge adulte. Comme à chaque fois, c'est un plaisir de s'immiscer dans ces familles d'origine anglaise, installées en Nouvelle-Zélande depuis presque 60 ans.
Cette fois, toute une partie du récit nous emmène en Afrique du Sud pendant la seconde guerre des Boers alors que du côté de l'Océanie on se frotte aux débuts de l'aviation.

Le fond historique est parfaitement intégré à l'intrigue et particulièrement bien documenté. Sarah Lark fait à nouveau la part belle aux femmes en permettant à Atamarie d'être la première femme admise à l'université pour suivre des cours d'ingénieur. L'autrice s'est également risquée, avec beaucoup de succès, à intégrer un personnage réel pour lui confier un rôle d'importance, le sien: Richard Pearse, pionnier méconnu de l'aviation qui aurait bien pu voler avant les célèbres frères Wright. Bien que son nom ait été donné à l'aéroport de Timaru, la raison pour laquelle il n'a pas accédé à la notoriété mondiale reste un mystère.

Je termine donc ici une saga magnifique, traversée par un superbe souffle romanesque, portée par des très beaux personnages et une plume hyper agréable. Je vais de ce pas me plonger dans la bibliographie de l'autrice.
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Troisième et dernier tome de "La trilogie Maorie" de Sarah Lark
Ce tome est très riche d'un point de vue historique. L'auteur nous parle de façon très détaillée de la guerre des Boers. Et du coup, cela m'a permis d'apprendre que les Boers étaient une communauté religieuse néerlandaise qui considéraient les noirs comme inférieurs à eux et les utilisaient comme domestiques alors que l'esclavage avait été aboli depuis plusieurs années.
Et le tout, bien sûr, sur fond d'amours contrariés.
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Dernier tome de la trilogie Kauri, ce tome est sans doute celui qui m'a le moins convaincue. Avec toutes les alliances et mésalliances qu'il y a eu dans les précédents tomes, j'ai eu de la peine à savoir qui était qui par rapport à qui (alors que j'ai enchainé ce livre directement à la suite du 2). Les personnages principaux de cette troisième génération ne m'ont pas passionnants: Atamarie oscille entre son amour pour Richard et ses études aéronautiques que j'ai trouvé ennuyeuse, et Kévin change radicalement de comportement dès qu'un jupon lui passe sous les yeux. Je n'ai pas du tout aimé son comportement et ses nombreuses coucheries. J'ai plus accroché aux personnages de Roberta et Rosie, aussi bien dans leurs histoires que dans leurs caractères. Sarah Lark nous ressort malheureusement les mêmes ficelles romanesques que dans le reste de la trilogie et le récit en devient très prévisible .
J'ai clairement préféré la trilogie maorie à cette nouvelle série qui s'avère finalement n'être qu'une pâle copie de la précédente.
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Les larmes de la déesse maorie est le dernier tome de la trilogie maorie de Sarah Lark.
J'ai été heureuse de retrouver les familles et leurs descendants qui vivent à nouveau bien des aventures en ce début du XXè siècle dans les beaux paysages de la Nouvelle-Zélande. J'ai beaucoup aimé aussi qu'une bonne partie du roman se déroule en Afrique du Sud lors de la Guerre des Boers qui m'a permis de découvrir ce lieu et cet épisode historique très intéressant dont l'aspect est semblable à plusieurs égards à celui des deux guerres mondiales quelques décennies plus tard.
Ce que j'ai apprécié également, c'est qu'un des personnages principaux soit un certain Richard Peace, un pionnier Néo Zélandais de l'aéronautique ayant réellement existé. Un des premiers à avoir volé dans une machine dans les airs.
Cependant, j'ai moins aimé les intrigues amoureuses que dans les deux précédents tomes et ai trouvé le roman un peu long avec ses 647 pages. En revanche, j'apprécie toujours autant la place que Sarah Lark donne aux femmes dans ses oeuvres avec des personnages féminins forts. C'est quand même le pays dans lequel les femmes ont reçu de par leur détermination le droit de vote dès 1893 et le droit d'étudier à l'université par la suite dont peut bénéficier Atamarie, l'un des personnages principaux du roman. Il faut dire aussi que l'influence du peuple maorie y est pour beaucoup car la place et le rôle de la femme y étaient relativement différents à l'époque par rapport aux conventions à respecter chez les irlandais ou les anglais, les femmes maories étant plus libres. C'est d'ailleurs toujours un plaisir pour moi de retrouver ce peuple ancestral maorie avec son langage, ses croyances et son mode de vie.
Les larmes de la déesse maorie est un roman d'aventure et d'amour qui laisse la place belle à L Histoire et au dépaysement total qui permet de s'instruire tout en s'évadant venant terminer une formidable saga.
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Suite et fin de cette saga.
J'ai bien aimé ce nouvel opus. J'ai aimé retrouver les personnages et les lieux que l'on commence a connaître un peu. J'ai peut-être trouvé ce tome un peu plus noir que les autres, si ça peut être possible.
Ici, on part en Afrique du Sud pendant la guerre des Boers. J'ai trouvé que le racisme était plus présent ici envers les africains qu'envers les maori.
On passe d'espoir à désespoir dans ce tome.
Il est certain que je lirai d'autre livres de cette autrice.
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Je viens de terminer « L'arbre kauri » , deuxième trilogie de Sarah Lark , et je dois dire que j'ai eu un peu de mal à aller au bout .
Les tomes 2 et 3 ne m'ont pas apporté autant de plaisir que je l'espérais .
Le premier tome , romanesque à souhait , m'avait bien plu
mais j'ai trouvé beaucoup de longueurs aux deux suivants .
Comme j'ai commencé la lecture du dernier tome «Les larmes de la déesse maorie» un an et demi après la lecture du précédent ,
j'avais oublié les rapports familiaux et liens de parenté des nombreux personnages... et Dieu sait qu'ils sont compliqués !
Qui est le demi-frère d'une telle ?
Qui est le père naturel de tel autre ?
Avec qui celle-ci était mariée en première noce ?
Ca n' empêche pas la compréhension de l'intrigue
mais ça gâche un peu la lecture .
En plus des amours contrariées et des adultères , plusieurs thèmes sont abordés dans ce troisième tome : la Guerre des Boers ,
les balbutiements de l'aviation et le racisme en Afrique du Sud , préfigurant le système de l' Apartheid .
En conclusion , deux derniers tomes longuets et un peu pesants , pour une trilogie beaucoup moins captivante que celle du « Nuage blanc » .
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Je ne mettrai que 3 étoiles et demi.
Comme j'ai lu les 3 tomes de ce récit en continue peut -être me suis-je lassée ce cette histoire.
Il y abeaucoup de mariages de désunions entre les familles.
Dans ce troisième tome il est moins question de la Nouvelle Zélande des coutumes Maoris des paysages etc.
Ce que j'ai surtout retenu c'est le début de l'aviation Comment un objet il n a pas encore le nom d'avion peut il voler ?
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Troisième et dernier tome de la deuxième saga néo-zélandaise de Sarah Lark, Les larmes de la déesse maorie sonne comme un adieu. Un adieu à ce pays, à cette époque révolue de la deuxième moitié du 19e siècle, de ces femmes de caractère, de ces générations qui se succèdent et se construisent dans la résistance. Je l'attendais depuis des semaines et je m'y suis plongée avec cette impression de rentrer chez moi. Ce confort, cette sécurité de retrouver les miens. Cette chaleur et ce cocon que seule la famille et les amis proches procurent. Lizzie, Michael, Atamarie, Katheleen font désormais partie de mon histoire. Ce fût un régal de partager encore un peu de leur existence mais quel arrachement de les quitter à jamais…
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