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Critique de mayim
Dans ce livre, l'auteur a choisi de mettre en parallèle la tenue de l'Exposition Universelle de 1893 à Chicago et les actes de Holmes, un tueur en série, qui sévit à la même période dans cette ville.
Je pensais lire un thriller. J'ai donc été étonnée au début de la place accordée à l'attribution de l'Exposition à Chicago, puis à ses différents plans de construction, à sa réalisation puis à son ouverture et enfin à son immense succès. Mais finalement, c'est la belle surprise de ce livre.
J'ai adoré suivre les aventures de cette ville blanche sortie de terre en quelques mois sur les sols difficiles de Chicago. Quelle équipe d'hommes passionnés (et de quelques femmes) et de travailleurs. Monter un tel projet ne va pas sans obstacles, difficultés, intempéries et accidents et, ici, ils ont été nombreux. Ce fut une course permanente contre la montre et j'ai tremblé avec eux de savoir si les délais seraient tenus. Cette Exposition a surtout été le lieu d'un bouillonnement incroyable d'idées et de créations dont certaines, comme la grande roue, deviendront des classiques. C'est un projet qui a relevé de multiples défis et a repoussé les limites de l'imagination. J'ai particulièrement aimé le récit de la création des jardins qui devaient trouver leur place en harmonie avec l'architecture des nouveaux bâtiments.
En revanche, j'ai été moins convaincue par la partie consacrée au tueur en série Holmes. Les chapitres s'alternant avec ceux sur l'Exposition, je les ai trouvés ennuyeux en comparaison. Il m'a semblé que l'auteur les tirait en longueur. Les actes sont pourtant effroyables et leur réalisation particulièrement tordue mais c'est un récit des faits sans grand suspense. le personnage de Holmes reste un mystère. J'ai retrouvé de l'intérêt vers la fin avec l'enquête d'un inspecteur persévérant et méticuleux.
L'auteur a fait un immense travail de recherches. Son livre est détaillé et long mais passionnant. Il vaut le détour pour se plonger dans ses tumultueuses années de bouleversements.
Je pensais lire un thriller. J'ai donc été étonnée au début de la place accordée à l'attribution de l'Exposition à Chicago, puis à ses différents plans de construction, à sa réalisation puis à son ouverture et enfin à son immense succès. Mais finalement, c'est la belle surprise de ce livre.
J'ai adoré suivre les aventures de cette ville blanche sortie de terre en quelques mois sur les sols difficiles de Chicago. Quelle équipe d'hommes passionnés (et de quelques femmes) et de travailleurs. Monter un tel projet ne va pas sans obstacles, difficultés, intempéries et accidents et, ici, ils ont été nombreux. Ce fut une course permanente contre la montre et j'ai tremblé avec eux de savoir si les délais seraient tenus. Cette Exposition a surtout été le lieu d'un bouillonnement incroyable d'idées et de créations dont certaines, comme la grande roue, deviendront des classiques. C'est un projet qui a relevé de multiples défis et a repoussé les limites de l'imagination. J'ai particulièrement aimé le récit de la création des jardins qui devaient trouver leur place en harmonie avec l'architecture des nouveaux bâtiments.
En revanche, j'ai été moins convaincue par la partie consacrée au tueur en série Holmes. Les chapitres s'alternant avec ceux sur l'Exposition, je les ai trouvés ennuyeux en comparaison. Il m'a semblé que l'auteur les tirait en longueur. Les actes sont pourtant effroyables et leur réalisation particulièrement tordue mais c'est un récit des faits sans grand suspense. le personnage de Holmes reste un mystère. J'ai retrouvé de l'intérêt vers la fin avec l'enquête d'un inspecteur persévérant et méticuleux.
L'auteur a fait un immense travail de recherches. Son livre est détaillé et long mais passionnant. Il vaut le détour pour se plonger dans ses tumultueuses années de bouleversements.
