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Critique de Rodin_Marcel


23 février 2011 : on annonce le décès, hier, de l'écrivain Jean Lartéguy, aujourd'hui pratiquement inconnu et tombé dans l'oubli (de son véritable état-civil Jean Pierre Lucien Osty, né le 5 septembre 1920 à Maison-Alfort).

Tôt engagé au côté de l'armée de la Libération, Croix de Guerre 1939-1945, officier participant aux guerres de Corée puis d'Indochine, il devient journaliste reporter et écrivain à partir de 1952. Publié en 1960 et prenant pour cadre la guerre d'Algérie, son roman "Les Centurions" connut un immense succès, avec plus d'un million d'exemplaires vendus.

Je me souviens bien l'avoir lu probablement dans les années 1967-1968, car il faisait partie des ouvrages qui traînaient partout, suivi d'ailleurs des "Mercenaires" (1963), des "Prétoriens" (1964) et des "Tambours de bronze" (1969). Evidemment, dans les années post-soixante-huitardes, il fut relégué dans la Géhenne des auteurs catalogués au minimum "infâmes réactionnaires" voire carrément "fascistes", et donc mis au ban de la société par toute la nomenklatura intellectuelle.
D'autant plus que – horreur suprême – il se positionnait dans la catégorie des auteurs "populaires"…

J'ai gardé le souvenir de romans d'action très enlevés, d'une lecture captivante, mais aux thèses politiques pour le moins très tranchées (c'est un doux euphémisme).
Pour l'instant, je n'éprouve aucun besoin de les relire.
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