J'ai compris que je ne pourrais guérir de mes blessures qu'en accueillant avec un vrai "oui" les parents que j'avais eus, en les acceptant pleinement.
En observant les choses avec honnêteté, j'ai compris que ce que j'avais enduré avait forgé mes plus beaux atouts et avait affermi ma personnalité.
C'est la peur qui me fait perdre le sourire, la joie, la paix intérieure ; rien d'autre que la peur.