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Critique de GwenRayn
Jojo de la jungle, un livre de mon enfance :
Mon premier souvenir de cet album est celui de l'avoir lu quand il était au concours “Petite Fureur”, l'école où j'allais participait justement à ce concours et je tombais pile dans la catégorie où figurait cet album : les 9/11 ans. Je le critiquerais donc avec le souvenir que j'en garde et l'opinion que j'en ai actuellement.
L'album, comme on peut le deviner à son titre, parle de Jojo, un singe vivant dans la jungle et se définissant comme un type bien. Il rend de multiples services à son entourage mais comme tout le monde, il y a une limite à sa gentillesse : il ne faut PAS marcher sur sa queue.
Pour moi Jojo serait un peu la représentation d'une personne lambda de notre société : une personne gentille et attentionnée avec ses proches mais avec qui, attention, il ne faut pas dépasser sa limite. Ça m'a fait penser à ces gens, sûrement très gentils qui nous crient dessus dès qu'on ose les toucher sans faire exprès dans les transports en commun.
Le point fort de cet ouvrage est pour moi son humour et sa chute qui me font rire à chaque fois que je le lis. On dirait la chute d'une bonne blague parfaitement maîtrisée, ni trop longue ni trop courte, juste parfaite.
Un autre point fort pour est les termes et situations inventées qui captivent encore plus le jeune lecteur dans la lecture car ce sont pour lui des termes nouveaux, ceci combiné au fait qu'il y ait une répétition à chaque début de page, le : « Je suis un type bien. » permet une harmonie entre choses nouvelles et choses répétées.
Malheureusement je dirais que le point faible est le style graphique qui de par mon expérience, n'attire pas les jeunes de cet âge à lire. En effet je me souviens très bien de la fois où on avait lit ce livre à ma classe, malgré les rire provoqués et l'attention qu'avaient portée tous les élèves de la classe à l'univers et les termes spéciaux utilisés, le style graphique en a dérangé plus d'un qui n'ont pas apprécié plus que ça la lecture à cause de ça.
Malgré tout, comme Thomas Lavachery m'a dit quand je lui ai posé la question de « Pourquoi un singe comme personnage, est-ce à cause du fait que vous ayez toujours été entouré par des animaux ? » en répondant que dans les albums jeunesse qui l'ont influencé, tous avaient des animaux comme personnage principaux (comme Babar notamment). Les animaux comme personnages d'albums jeunesse sont très répandus et très populaires, et encore une fois Jojo a cet avantage qu'il est un peu une mascotte en étant un animal.
Si le style graphique n'handicapait pas tant ce livre, car surtout pour les jeunes lecteurs les dessins sont parfois plus importants que le texte, ce serait un grand succès pour tous les publics parce qu'il a tout pour plaire, l'humour, le héros mascotte, l'univers et le style d'écriture !
Mon premier souvenir de cet album est celui de l'avoir lu quand il était au concours “Petite Fureur”, l'école où j'allais participait justement à ce concours et je tombais pile dans la catégorie où figurait cet album : les 9/11 ans. Je le critiquerais donc avec le souvenir que j'en garde et l'opinion que j'en ai actuellement.
L'album, comme on peut le deviner à son titre, parle de Jojo, un singe vivant dans la jungle et se définissant comme un type bien. Il rend de multiples services à son entourage mais comme tout le monde, il y a une limite à sa gentillesse : il ne faut PAS marcher sur sa queue.
Pour moi Jojo serait un peu la représentation d'une personne lambda de notre société : une personne gentille et attentionnée avec ses proches mais avec qui, attention, il ne faut pas dépasser sa limite. Ça m'a fait penser à ces gens, sûrement très gentils qui nous crient dessus dès qu'on ose les toucher sans faire exprès dans les transports en commun.
Le point fort de cet ouvrage est pour moi son humour et sa chute qui me font rire à chaque fois que je le lis. On dirait la chute d'une bonne blague parfaitement maîtrisée, ni trop longue ni trop courte, juste parfaite.
Un autre point fort pour est les termes et situations inventées qui captivent encore plus le jeune lecteur dans la lecture car ce sont pour lui des termes nouveaux, ceci combiné au fait qu'il y ait une répétition à chaque début de page, le : « Je suis un type bien. » permet une harmonie entre choses nouvelles et choses répétées.
Malheureusement je dirais que le point faible est le style graphique qui de par mon expérience, n'attire pas les jeunes de cet âge à lire. En effet je me souviens très bien de la fois où on avait lit ce livre à ma classe, malgré les rire provoqués et l'attention qu'avaient portée tous les élèves de la classe à l'univers et les termes spéciaux utilisés, le style graphique en a dérangé plus d'un qui n'ont pas apprécié plus que ça la lecture à cause de ça.
Malgré tout, comme Thomas Lavachery m'a dit quand je lui ai posé la question de « Pourquoi un singe comme personnage, est-ce à cause du fait que vous ayez toujours été entouré par des animaux ? » en répondant que dans les albums jeunesse qui l'ont influencé, tous avaient des animaux comme personnage principaux (comme Babar notamment). Les animaux comme personnages d'albums jeunesse sont très répandus et très populaires, et encore une fois Jojo a cet avantage qu'il est un peu une mascotte en étant un animal.
Si le style graphique n'handicapait pas tant ce livre, car surtout pour les jeunes lecteurs les dessins sont parfois plus importants que le texte, ce serait un grand succès pour tous les publics parce qu'il a tout pour plaire, l'humour, le héros mascotte, l'univers et le style d'écriture !
