>
Critique de Laveze
LE CHANT DES AQUADÈMES 2 LES ORPHÉONS de Jean Lavie
Les Aquadèmes sont désormais bien connus, aimés par certains, détestés par d'autres et notamment par Monseigneur Dombrowski, chef de l'état théaucratique du Poland, qui entend éliminer ces entités ainsi que les Orphéons par tous les moyens possibles. Il va envoyer son directeur de la doctrine et de la foi direction l'île de Bressay dans les Shetlands pour obtenir des preuves de la perversité du peuple des ponts. A l'opposé, à Londres, Jack Johnson, lui se bat pour sauver ces créatures auxquelles il s'est attaché. C'est un adepte du jaïnisme, une secte indienne respectueuse de la vie animale sous toutes ses formes, dont le temple principal est situé à Ranakpur. Mais la lutte ne va pas se circonscrire seulement entre ces deux hommes, le Poland a noué des liens avec certains pays ou des milices et bientôt les ponts explosent simultanément dans plusieurs pays, la lutte s'annonce féroce et les défenseurs des Aquadèmes et des Orphéons ne restent pas les mains dans les poches.
Si le premier tome des Aquadèmes m'avait évoqué Ken Follet dans ses écrits situés au moyen âge, on est passé directement à une ambiance du type Da Vinci Code de Dan Brown avec de nombreux rebondissements, des manipulations et des renversements d'alliances imprévus. Un roman qui quitte le moyen âge pour nous entraîner de nos jours et un peu plus, très ancré dans la réalité des diversités qui luttent pour leur reconnaissance, «et qui rêvent d'un monde plus ouvert et plus empathique ». Je ne doute pas qu'un troisième opus soit en préparation car certains mystères n'ont pas reçu de réponse...
Les Aquadèmes sont désormais bien connus, aimés par certains, détestés par d'autres et notamment par Monseigneur Dombrowski, chef de l'état théaucratique du Poland, qui entend éliminer ces entités ainsi que les Orphéons par tous les moyens possibles. Il va envoyer son directeur de la doctrine et de la foi direction l'île de Bressay dans les Shetlands pour obtenir des preuves de la perversité du peuple des ponts. A l'opposé, à Londres, Jack Johnson, lui se bat pour sauver ces créatures auxquelles il s'est attaché. C'est un adepte du jaïnisme, une secte indienne respectueuse de la vie animale sous toutes ses formes, dont le temple principal est situé à Ranakpur. Mais la lutte ne va pas se circonscrire seulement entre ces deux hommes, le Poland a noué des liens avec certains pays ou des milices et bientôt les ponts explosent simultanément dans plusieurs pays, la lutte s'annonce féroce et les défenseurs des Aquadèmes et des Orphéons ne restent pas les mains dans les poches.
Si le premier tome des Aquadèmes m'avait évoqué Ken Follet dans ses écrits situés au moyen âge, on est passé directement à une ambiance du type Da Vinci Code de Dan Brown avec de nombreux rebondissements, des manipulations et des renversements d'alliances imprévus. Un roman qui quitte le moyen âge pour nous entraîner de nos jours et un peu plus, très ancré dans la réalité des diversités qui luttent pour leur reconnaissance, «et qui rêvent d'un monde plus ouvert et plus empathique ». Je ne doute pas qu'un troisième opus soit en préparation car certains mystères n'ont pas reçu de réponse...
