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Critique de Espai
Red Sister m'a semblé écrit pour les gens qui aiment bien lire la Fantasy de temps en temps, quelque chose de frais, rapide et d'un peu choquant, et de bien écrit.
Mais pour le lecteur avide, qui a lu des dizaines de fois la même variation du même plot, des centaines de fois la même quête et prophétie, je ne comprends pas vraiment comment Red Sister puisse convenir.
On a un mélange de tropes classiques du genre (femme assassin badass objet d'une prophétie, école de magie/meurtre) sans complexité suffisante à mon goût pour titiller suffisamment mon attention. On a aussi un monde qui aurait pu être génial (la glace menace de recouvrir toute la planète) s'il n'avait pas été relégué à l'arrière-arrière-plan (très arrière). Finalement, je me suis assez ennuyé dans ma lecture.
J'ai quand même beaucoup apprécié les personnages secondaires (Ara, Clera, Hessa) que l'écriture poétique de Mark Lawrence fait briller. Mais qui n'ont pas à mon goût permis de rattraper l'intrigue molle et sans antagoniste suffisamment excitant.
En fait, j'ai pensé un peu la même chose de Prince of Thorns : il semblerait peut-être juste que Mark Lawrence et moi ne soyons pas faits pour nous entendre.
Mais pour le lecteur avide, qui a lu des dizaines de fois la même variation du même plot, des centaines de fois la même quête et prophétie, je ne comprends pas vraiment comment Red Sister puisse convenir.
On a un mélange de tropes classiques du genre (femme assassin badass objet d'une prophétie, école de magie/meurtre) sans complexité suffisante à mon goût pour titiller suffisamment mon attention. On a aussi un monde qui aurait pu être génial (la glace menace de recouvrir toute la planète) s'il n'avait pas été relégué à l'arrière-arrière-plan (très arrière). Finalement, je me suis assez ennuyé dans ma lecture.
J'ai quand même beaucoup apprécié les personnages secondaires (Ara, Clera, Hessa) que l'écriture poétique de Mark Lawrence fait briller. Mais qui n'ont pas à mon goût permis de rattraper l'intrigue molle et sans antagoniste suffisamment excitant.
En fait, j'ai pensé un peu la même chose de Prince of Thorns : il semblerait peut-être juste que Mark Lawrence et moi ne soyons pas faits pour nous entendre.
