Le Prédicateur

Si, si c'est un bon livre, bien sûr des longueurs, normal c'est la canicule qui veut ça et puis en short, les flics ont du mal a porter leur arme, quelle rigolade, non ? Ah, bon ! Me serais-je trompé ? A ce point, quand même, bref sérieusement, pour moi, inférieur au premier dont les lacunes sont excusables : début d'une série, personnages à peaufiner... Ici moins d'excuse, ça roule, c'est huilé. Mais en fait je ne sais pas pourquoi mais j'ai une certaine retenue envers cette auteure, sais pas pourquoi, m'a rien fait la dame. Je suis trop psychorigide avec elle ou je compare trop avec d'autres ce qui est une erreur.
Pour moi, le personnage de Mellberg, le commissaire est impayable, il n'en fait pas une et récolte tous les fruits du résultat de Patrick, c'est beau la hiérarchie et puis le mariage par correspondance, j'en ris encore, si !
Pôvre famille Hult, persécutée, harcelée, les proprets comme les crapules, au moins pas de jaloux. On sent de la matière chez cette Camilla, cependant elle n'ose pas, ne se lance pas, elle devrait vitrioler son écriture, nous en balancer plein la poire, splash, vous voulez du vilain? En v'là.
Je suis resté sur ma faim et j'avais compris bien avant le mot The end et ça, je n'aime pas mais alors pas du tout.
J'essaie le suivant et selon, soit je persévérerai, soit nous nous quitterons bons amis, chère Camilla.
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