AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de mesrives


Si le prédicateur ne m'avait pas totalement séduite, j'ai été conquise par le Tailleur de pierre.
Ici, les retrouvailles avec les protagonistes sont aussi naturelles qu'avec des proches parents ou amis.
Erica, selon la génération à laquelle on appartient, pourrait être une soeur, tante, cousine ou amie.
Maman depuis peu (Mija à deux mois), elle nous fait partager ses déboires domestiques et son énorme fatigue (dépression postpartum): aussi elle participe peu à l'enquête que mène son compagnon Patrick Hedström mais nous dévoile par contre ses côtés de bonne samaritaine, un vrai Saint-Bernard!

Pour en revenir à l'intrigue, l'équipe du commissariat de Tanumshede doit élucider la mort d'une petite fille dont le corps a été repêché dans le port de Fjällbacka. Noyade ou crime: il faudra attendre la suite des événements... et l'avis du médecin légiste Pedersen.

Dans ce troisième volet, Camilla Läcberg peint une communauté (dont certains membres sont encore sous l'emprise des dogmes puritains du feu pasteur Henric Schartau), et dessine toujours les contours d' un microcosme avec ses avantages (solidarité, échange...) et ses vices (espionnage et surveillance entre voisins...).

Ici, j'ai beaucoup apprécié l'histoire évoquée des tailleurs de pierre de Borüslan, se déroulant en parallèle de l'affaire contemporaine, à qui l'auteur rend hommage.

Une lecture très agréable, et Je vais attraper de ce pas L'oiseau de mauvaise augure qui niche dans la bibliothèque de ma grande fifille!


Commenter  J’apprécie          560



Ont apprécié cette critique (46)voir plus




{* *}