Ayant apprécié No Bank, j'ai lu "La semaine où
Jérôme Kerviel a failli faire sauter le système financier mondial".
J'ai retrouvé le talent de narrateur d'Hugues le Bret : on a de la compassion pour les acteurs, et d'abord pour le narrateur, et, par moment, l'ouvrage se lit comme un roman policier.
J'en revanche je suis resté sur ma faim. En effet, j'aurais aimé comprendre pourquoi, comme le soutien l'auteur, la fraude de
Jérôme Kerviel n'est pas imputable à un défaut des systémes de contrôle et/ou à un manque de supervision, et pourquoi donc elle aurait aussi bien pu survenir chez n'importe quel établissement concurrent.