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Critique de fredbologsen
Auguste le Breton, de son vrai nom Auguste Montfort.
Un auteur qu'on pense ne pas connaître, mais dont on vu à coup sûr nombre de films tirés de ses polars, et avec ô combien d'acteurs connus (Gabon, Delon).
Le Breton, c'est ma jeunesse, la fin des années 1970 et début 80, celle où je dévorais de cet auteur la série des Bontemps, l'as des Anti-Gangs (reprise plus tard par Georges Pierquin), mais également les aventures de Mack Bolan, parti seul en guerre contre la mafia après le massacre de sa famille par cette dernière, -et sous la plume de Don Penddelton-, mais aussi les Frédéric Dard et son San-Antonio.
Auguste le Breton a son style bien à lui, aux phrases courtes et incisives, et son "argot" ou parler du milieu caractéristique.
Tout est réuni dans ce "Rififi" à New-York pour nous plonger dans les années 1960, où l'on imagine les voitures de l'époque, les gangsters en costard sur mesure, voire peut-être avec un oeillet à la boutonnière, comme Franck Nitty (je ne me rappelle plus si al -Capone- en portait ou pas; même si ces figures de la pègre américaine ont plutôt sévi 20 ou 30 ans plus tôt). Tous les types de protagonistes sont aussi présents: le flic intègre, Mike, un père qui l'est moins, Louis Coppolano -mais presque pour la bonne cause-, des truands qui préparent un gros coup mais sympas, et d'autres qui le sont moins. Et des flics qui à cette époque ne se la laissent pas compter...
Alors, il est question du gros casse du siècle, mais je n'en dirai pas plus; un polar d'Auguste le Breton ça se lit et ça se vit. Et à fait rêver et ça transporte. Dans une autre époque, d'autres lieux.
Petit bémol cependant: j'ai acheté ce livre au village du livre de Montolieu, et il est édité (janvier 2017) par les éditions "French Pulp". Mais combien, combien de coquilles!!!!! Des dizaines: ponctuation en trop ou absente, lettres manquantes, mots tronqués. Ce qui du coup a impacté par moment sur ma lecture, sur mon plaisir de lecture.
Mais une agréable surprise quand même, et l'envie d'en lire d'autres. Si je les trouve.
Un auteur qu'on pense ne pas connaître, mais dont on vu à coup sûr nombre de films tirés de ses polars, et avec ô combien d'acteurs connus (Gabon, Delon).
Le Breton, c'est ma jeunesse, la fin des années 1970 et début 80, celle où je dévorais de cet auteur la série des Bontemps, l'as des Anti-Gangs (reprise plus tard par Georges Pierquin), mais également les aventures de Mack Bolan, parti seul en guerre contre la mafia après le massacre de sa famille par cette dernière, -et sous la plume de Don Penddelton-, mais aussi les Frédéric Dard et son San-Antonio.
Auguste le Breton a son style bien à lui, aux phrases courtes et incisives, et son "argot" ou parler du milieu caractéristique.
Tout est réuni dans ce "Rififi" à New-York pour nous plonger dans les années 1960, où l'on imagine les voitures de l'époque, les gangsters en costard sur mesure, voire peut-être avec un oeillet à la boutonnière, comme Franck Nitty (je ne me rappelle plus si al -Capone- en portait ou pas; même si ces figures de la pègre américaine ont plutôt sévi 20 ou 30 ans plus tôt). Tous les types de protagonistes sont aussi présents: le flic intègre, Mike, un père qui l'est moins, Louis Coppolano -mais presque pour la bonne cause-, des truands qui préparent un gros coup mais sympas, et d'autres qui le sont moins. Et des flics qui à cette époque ne se la laissent pas compter...
Alors, il est question du gros casse du siècle, mais je n'en dirai pas plus; un polar d'Auguste le Breton ça se lit et ça se vit. Et à fait rêver et ça transporte. Dans une autre époque, d'autres lieux.
Petit bémol cependant: j'ai acheté ce livre au village du livre de Montolieu, et il est édité (janvier 2017) par les éditions "French Pulp". Mais combien, combien de coquilles!!!!! Des dizaines: ponctuation en trop ou absente, lettres manquantes, mots tronqués. Ce qui du coup a impacté par moment sur ma lecture, sur mon plaisir de lecture.
Mais une agréable surprise quand même, et l'envie d'en lire d'autres. Si je les trouve.
