AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de keisha


L'argent n'a pas d'odeur, dit le proverbe, mais il peut être sale. Dans ce cas, pourquoi ne pas le blanchir?

Le numéro un du blanchiment d'argent s'appelle Dima (dans le roman), mais il sent que le vent tourne, et échangerait bien sécurité contre informations au gouvernement britannique.

Pour cette histoire à la John le Carré (ça tombe bien, c'est lui l'auteur, et je le soupçonne de fort s'amuser à se pasticher lui-même), l'accroche est un jeune couple anglais fort sympathique, qui va se retrouver à fréquenter des services britanniques pas toujours sur la même longueur d'onde et une famille russe à pièces rapportées un peu originale...

On retrouve avec plaisir l'humour totalement british de John le Carré, ses espions toujours un peu borderline, sa vision pas franchement optimiste de notre monde actuel.



La feuille de route de l'espion:

"Des problèmes?

- Je ne pense pas, non.

-Moi non plus. Alors détendez-vous, pensez à l'Angleterre, fermez-la et ne déconnez pas".
Lien : http://en-lisant-en-voyagean..
Commenter  J’apprécie          00







{* *}