En août 2005,
Philippe Delerm expliquait dans un article de "Muze" (numéro 12, p. 14-15) expliquait que « dans "
L'inconnu sur la terre", il y a[vait] la vie » et que pour cette raison, il s'agissait pour lui d'un « livre essentiel ». Cette critique m'est resté en tête depuis et près de six ans plus tard, j'ai enfin lu ce roman très difficile à résumer, où l'on croise un « petit garçon inconnu », où l'on vous invite à marcher, à peler une orange, bref, effectivement, à vivre tout simplement. Cet ouvrage extrêmement bien écrit m'a accompagné pendant quatre jours car il faut savoir prendre le temps de le savourer, ligne après ligne. Un livre marquant, qui m'a donné à réfléchir et reste encore en moi, plusieurs jours après l'avoir terminé.
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