Le Corre sait rendre les atmosphères, la chaleur, le sang et la sueur pour poser le cadre de son histoire même si on se demande parfois où il veut aller. Il faudra donc aller 100 pages plus loin pour que l'histoire démarre.
La mouise colle à l'histoire comme la boue aux chaussures. Dans un univers limité et déshérité, sous une chaleur torride, Franck voit son univers se refermer selon une mécanique implacable.
Des personnages toxiques à souhait auprès desquels le jeune homme qui sort de prison passe presque pour un héros, attachant en tout cas.
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