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Critique de tchouk-tchouk-nougat
La nouvelle série "j'ai tué" parue chez Vent d'Ouest et dont chaque tome marche en one shot avec des auteurs différents, reviens sur les meurtres célèbres qui ont fait l'histoire. Pour celui-ci le très connu assassinat de l'Archiduc d'Autriche François Ferdinand qui est à l'origine de la première guerre mondiale. Au collège, au lycée on nous l'a suffisamment rabattu les oreilles, ce qui a mis le feu aux poudres c'est cet événement à Sarajevo qui a vu par la mise en jeu des alliances entrainer une déclaration de guerre... Mais nous a-t-on jamais enseigné qui avait commis ce meurtre et pourquoi? Moi en tout cas je n'ai pas le souvenir que mes profs se soient alors penchés sur cette question. Il m'aura fallu cette BD pour que je m'intéresse aux origines du déclenchement de a première guerre mondiale.
Tout démarre avec Gavrilo Princip qui rêve d'unir et de libérer les "slaves du sud". Et pour cela il doit contrecarrer les plans de 'l'empire" et il n'a rien trouvé de plus radical que de tuer le futur empereur François Ferdinand d'Autriche Hongrie.
Il arrive à convaincre deux amis et ensemble ils vont se rendre à Sarajevo où se jouera leur funeste destin. Tous sont mineurs et ils seront à l'origine de la première guerre mondiale...
J'ai été très déçu par l'histoire. Pourtant du point de vue historique elle est très intéressante et de plus la reconstitution à l'air documentée.
Pourtant il manque terriblement de liant à cette histoire.
Les personnages manquent de profondeur, d'histoire personnelle, d'émotion. On dirait une bande de gamin qui commentent une bêtise, comme ça, par insouciance sans autre motivation, sans autre implication.
Ils ne sont pas particulièrement attachants, assez superposables entre eux (c'est vrai que mon incapacité à retenir les noms serbes n'a pas aidé) et fait qu'on a du mal à rentrer dans l'histoire. D'ailleurs à aucun moment je me suis sentie happée et j'ai presque du lutter à chaque page pour poursuivre la lecture.Le début est un enchainement d'étapes assez insipides et sans difficulté pour arriver à Sarajevo avec des armes. Puis par une attente qui manque tout autant de saveur et d'action. Pour finir par l'assassinat dont l'issue est connue mais qui manque du souffle que l'on pouvait attendre pour cette déclaration de guerre.
Les dessins eux sont plutôt sympas bien que les personnages n'aient pas toujours des traits assez typés pour bien les différenciés. La colorisation aux tons un peu pastels donne un charme.
Tout démarre avec Gavrilo Princip qui rêve d'unir et de libérer les "slaves du sud". Et pour cela il doit contrecarrer les plans de 'l'empire" et il n'a rien trouvé de plus radical que de tuer le futur empereur François Ferdinand d'Autriche Hongrie.
Il arrive à convaincre deux amis et ensemble ils vont se rendre à Sarajevo où se jouera leur funeste destin. Tous sont mineurs et ils seront à l'origine de la première guerre mondiale...
J'ai été très déçu par l'histoire. Pourtant du point de vue historique elle est très intéressante et de plus la reconstitution à l'air documentée.
Pourtant il manque terriblement de liant à cette histoire.
Les personnages manquent de profondeur, d'histoire personnelle, d'émotion. On dirait une bande de gamin qui commentent une bêtise, comme ça, par insouciance sans autre motivation, sans autre implication.
Ils ne sont pas particulièrement attachants, assez superposables entre eux (c'est vrai que mon incapacité à retenir les noms serbes n'a pas aidé) et fait qu'on a du mal à rentrer dans l'histoire. D'ailleurs à aucun moment je me suis sentie happée et j'ai presque du lutter à chaque page pour poursuivre la lecture.Le début est un enchainement d'étapes assez insipides et sans difficulté pour arriver à Sarajevo avec des armes. Puis par une attente qui manque tout autant de saveur et d'action. Pour finir par l'assassinat dont l'issue est connue mais qui manque du souffle que l'on pouvait attendre pour cette déclaration de guerre.
Les dessins eux sont plutôt sympas bien que les personnages n'aient pas toujours des traits assez typés pour bien les différenciés. La colorisation aux tons un peu pastels donne un charme.
