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Critique de Torellion
A travers 10 portraits, les historiens réunis autour de Jacques le Goff nous aident à comprendre le moyen-âge dans ses peurs, ses croyances, ses mentalités, ses goûts... Ce sont les portraits des moines, guerrier et chevalier, paysan et travailleur des champs, citadin, intellectuel, artiste, marchand, femmes et famille, saint, et enfin marginal qui sont brossés au fil des chapitres de cet ouvrage. L'exhaustivité du propos est intéressante d'autant plus dans les chapitres consacrés aux figures atypiques.
L'ouvrage se concentre plus particulièrement sur la période allant de l'an mil à la fin du XIVe siècle. Géographiquement nous trouverons beaucoup de détails en provenance d'Italie, ce qui s'explique bien sûr par l'origine de certains membres de ce collectif mais également par l'extraordinaire développement urbain qu'a connu l'Italie à cette époque.
Pour résumer, un ouvrage riche et unique, qui mérite toute notre attention.
L'ouvrage se concentre plus particulièrement sur la période allant de l'an mil à la fin du XIVe siècle. Géographiquement nous trouverons beaucoup de détails en provenance d'Italie, ce qui s'explique bien sûr par l'origine de certains membres de ce collectif mais également par l'extraordinaire développement urbain qu'a connu l'Italie à cette époque.
Pour résumer, un ouvrage riche et unique, qui mérite toute notre attention.
