Page 45... panne sèche, plus de carburant dans mon plaisir de lire.
J'ai eu l'impression en commençant
La dame de Kyoto d'être tombée dans un Harlequin au pays du Soleil Levant. Un style plat et des platitudes qui ont eu raison de ma bienveillance.
En plus, dans le peu de pages lues au final, j'y ai trouvé plusieurs fautes de grammaire qui m'ont piqué les yeux (un exemple à la 3ème page du récit : "Quelqu'un était-il arrivé au ryôkan OÙ était-ce Naoki qui venait de rentrer de Tokyo et s'apprêtait peut-être à repartir?").
Donc stop et direction la boîte à livres. Peut-être ce roman fera-t-il le bonheur de quelqu'un d'autre à défaut du mien.
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