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Critique de Biancabiblio
A travers Les huit coups de l'horloge, Arsène Lupin se dépouille de sa posture de gentleman cambrioleur pour celui de redresseur de torts et en sauveur de dames en détresse.
Par pure charité ? Que nenni, on ne change par Arsène Lupin, c'est pour séduire la belle Hortense qu'il espère bien mettre dans son lit, à condition pour lui de résoudre huit énigmes.
Exit Arsène, bonjour le prince Rénine, son nouvel avatar à la verve pétillante, à la confiance inébranlable, et aux raisonnements impeccables.
Huit historiettes qui se lisent bien vite. Elles sont agréables à lire, plutôt bien construites avec des plans machiavéliques bien troussés avec un Arsène au mieux de sa forme : tout est résolu en deux coups de cuillère à pot, nouvelles oblige, Maurice Leblanc passe un peu trop vite sur les détails ou les développements qui mènent aux résolutions de ces énigmes.
Parfait pour Arsène… mais pas forcément pour moi qui les ai trouvé d'un intérêt inégal, d'autant que le syndrome de la faible femme en détresse a commencé à m'agacer, et quant au dénouement final, il n'est guère surprenant.
Malgré tout, je suis toujours aussi séduite par le style de Maurice Leblanc, si il est un peu daté pour certains, ce que je ne trouve pas, il fait merveille ici, plein de la gouaille Belle Époque que j'affectionne tant !
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Lien : https://deslivresdeslivres.w..
Par pure charité ? Que nenni, on ne change par Arsène Lupin, c'est pour séduire la belle Hortense qu'il espère bien mettre dans son lit, à condition pour lui de résoudre huit énigmes.
Exit Arsène, bonjour le prince Rénine, son nouvel avatar à la verve pétillante, à la confiance inébranlable, et aux raisonnements impeccables.
Huit historiettes qui se lisent bien vite. Elles sont agréables à lire, plutôt bien construites avec des plans machiavéliques bien troussés avec un Arsène au mieux de sa forme : tout est résolu en deux coups de cuillère à pot, nouvelles oblige, Maurice Leblanc passe un peu trop vite sur les détails ou les développements qui mènent aux résolutions de ces énigmes.
Parfait pour Arsène… mais pas forcément pour moi qui les ai trouvé d'un intérêt inégal, d'autant que le syndrome de la faible femme en détresse a commencé à m'agacer, et quant au dénouement final, il n'est guère surprenant.
Malgré tout, je suis toujours aussi séduite par le style de Maurice Leblanc, si il est un peu daté pour certains, ce que je ne trouve pas, il fait merveille ici, plein de la gouaille Belle Époque que j'affectionne tant !
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