Un second tome résolument plus sombre, où Mary Quinn se voit dans l'obligation d'endosser le costume d'un jeune garçon de course, afin de mieux infiltrer le chantier de construction de Westminster.
Cela signifie également renouer avec son ancienne vie de mendiant et voleuse des rues, sans le sou et aucun avenir, ce qui n'est pas sans danger d'un point de vue psychologique.
Ce deuxième roman dépeint avec force la misère et les conditions d'insalubrité sans nom du Londres du XIXe siècle, au point de bouleverser l'auteur et le personnage principal.
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