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Critique de Floraxxivi
Le mystère Fowler est, somme toute, un bon thriller. J'ai été angoissée à plusieurs reprises et l'identité de ce mystérieux tueur est restée secrète jusqu'au bout malgré l'élaboration de plans les plus tordus les uns que les autres durant ma lecture !
Mais... mais quelle déception ! Cette fin ! Pour moi tout est tombé à plat au moment de la révélation finale. Moi qui avait - comme je viens de le dire - imaginé les scénarios les plus pervers pour finalement.... ça ! dans ma tête ça a fait "plouf" ! Quant à la seconde intrigue... Mouaaaaaaais. "Dallas ton univers impitoyable !". Quand c'est trop gros c'est trop gros, d'autant plus quand c'est annoncé dès la moitié du livre comme une sortie d'autoroute.
Oui, parce qu'il faut dire que j'ai lu ce livre jusqu'à la fin uniquement pour savoir qui était ce pervers complètement fou ! Potentiellement, chaque protagoniste était coupable. L'auteur s'en amuse, même un peu trop d'ailleurs puisqu'il entame une piste, chauffe son lecteur et... "plouf", encore ?
Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai levé les yeux au ciel! Parce qu'il faut bien parler des personnages quand même... Victoria, "l'héroïne", nous est présenté comme torturée, particulièrement belle et bien évidemment brillante (major de promo et tout et tout et tout). Ok, donc déjà je me croyais dans un Marie-Bernadette Dupuy. Sauf que ça c'est sur le papier, parce que durant tout le roman, notre chère Victoria a tout de l'ado' border line et franchement pas très maligne. Ok, je suis mauvaise parce qu'elle a vécut des drames qui l'ont forcément rendu fragile, mais faut dire qu'elle est relativement insupportable. Son attitude est franchement incohérente. de plus, ses bêtises d'ado - bien avant son drame personnel - nous laissent bien entendre qu'il lui manque une ou deux cases dès le départ.
Et puis... une jeune femme de 24 ans, étudiante en pyschocriminalité qui ne sait pas ce qu'est le BDSM et qu'il est pratiqué même dans le cadre d'une sexualité saine, on en parle?? D'autant plus quand on sait ce dont elle est capable ? Je ne juge pas, loin de là, mais faudrait peut être pas pousser trop loin la double personnalité, non?
Puis intervient ce vieux flic-moine habillé comme un franciscain mais qui se dit bouddhiste en parlant d'ésotérisme de comptoir. Notre parfaite Victoria devient l'ELUE ! Non mais.... ?!
Quant au mystérieux monsieur Fowler tout droit sortie d'un roman de new romance dark... on va même pas s'étendre sur le sujet tellement j'ai eu envie de lui mettre des claques à celui là. Arrogance, manque d'imagination et machisme, le tout dans un beau paquet.
Les fameuses scènes de sexe perverses et torrides... mouais. Mon câlin du dimanche matin est parfois bien plus animé. On dirait que l'auteur s'est contenté de taper "BDSM" sur Google, a trouvé deux photos de nanas ligotées et s'est fait son film à partir de là. Non pas que je sois experte, mais je l'ai trouvé un peu soft. BDSM grand public en fait. Pas très pervers.
Quant à la scène dans l'asile... alors là ! Non seulement c'est tout sauf le reflet de la réalité de ce qu'il peut bien se passer en asile, et en plus, notre chère Victoria a visiblement un aimant aux fesses, ou des supers-pouvoirs, qui sait ! puisqu'elle fait sortir de leur torpeur 15 personnes sous sédatifs très puissants qui, évidemment, ont désormais pour seule et unique obsession lui faire des câlins.
J'aurai encore beaucoup à dire... mais je vais m'arrêter là.
Pour conclure, je dirais que je ne déconseillerai pas forcément ce roman, parce que finalement l'intrigue n'est pas si mal menée. Mais si vous chercher un vrai bon thriller tordu, horrifique, érotique... passez vraiment votre chemin ! C'est peut être sympa pour ceux qui veulent découvrir ce genre, mais pour les habitués, vous allez faire comme moi : soupirer, rouler des yeux et finir par vous dire que vous avez perdu 4h.
Mais... mais quelle déception ! Cette fin ! Pour moi tout est tombé à plat au moment de la révélation finale. Moi qui avait - comme je viens de le dire - imaginé les scénarios les plus pervers pour finalement.... ça ! dans ma tête ça a fait "plouf" ! Quant à la seconde intrigue... Mouaaaaaaais. "Dallas ton univers impitoyable !". Quand c'est trop gros c'est trop gros, d'autant plus quand c'est annoncé dès la moitié du livre comme une sortie d'autoroute.
Oui, parce qu'il faut dire que j'ai lu ce livre jusqu'à la fin uniquement pour savoir qui était ce pervers complètement fou ! Potentiellement, chaque protagoniste était coupable. L'auteur s'en amuse, même un peu trop d'ailleurs puisqu'il entame une piste, chauffe son lecteur et... "plouf", encore ?
Je ne compte pas le nombre de fois où j'ai levé les yeux au ciel! Parce qu'il faut bien parler des personnages quand même... Victoria, "l'héroïne", nous est présenté comme torturée, particulièrement belle et bien évidemment brillante (major de promo et tout et tout et tout). Ok, donc déjà je me croyais dans un Marie-Bernadette Dupuy. Sauf que ça c'est sur le papier, parce que durant tout le roman, notre chère Victoria a tout de l'ado' border line et franchement pas très maligne. Ok, je suis mauvaise parce qu'elle a vécut des drames qui l'ont forcément rendu fragile, mais faut dire qu'elle est relativement insupportable. Son attitude est franchement incohérente. de plus, ses bêtises d'ado - bien avant son drame personnel - nous laissent bien entendre qu'il lui manque une ou deux cases dès le départ.
Et puis... une jeune femme de 24 ans, étudiante en pyschocriminalité qui ne sait pas ce qu'est le BDSM et qu'il est pratiqué même dans le cadre d'une sexualité saine, on en parle?? D'autant plus quand on sait ce dont elle est capable ? Je ne juge pas, loin de là, mais faudrait peut être pas pousser trop loin la double personnalité, non?
Puis intervient ce vieux flic-moine habillé comme un franciscain mais qui se dit bouddhiste en parlant d'ésotérisme de comptoir. Notre parfaite Victoria devient l'ELUE ! Non mais.... ?!
Quant au mystérieux monsieur Fowler tout droit sortie d'un roman de new romance dark... on va même pas s'étendre sur le sujet tellement j'ai eu envie de lui mettre des claques à celui là. Arrogance, manque d'imagination et machisme, le tout dans un beau paquet.
Les fameuses scènes de sexe perverses et torrides... mouais. Mon câlin du dimanche matin est parfois bien plus animé. On dirait que l'auteur s'est contenté de taper "BDSM" sur Google, a trouvé deux photos de nanas ligotées et s'est fait son film à partir de là. Non pas que je sois experte, mais je l'ai trouvé un peu soft. BDSM grand public en fait. Pas très pervers.
Quant à la scène dans l'asile... alors là ! Non seulement c'est tout sauf le reflet de la réalité de ce qu'il peut bien se passer en asile, et en plus, notre chère Victoria a visiblement un aimant aux fesses, ou des supers-pouvoirs, qui sait ! puisqu'elle fait sortir de leur torpeur 15 personnes sous sédatifs très puissants qui, évidemment, ont désormais pour seule et unique obsession lui faire des câlins.
J'aurai encore beaucoup à dire... mais je vais m'arrêter là.
Pour conclure, je dirais que je ne déconseillerai pas forcément ce roman, parce que finalement l'intrigue n'est pas si mal menée. Mais si vous chercher un vrai bon thriller tordu, horrifique, érotique... passez vraiment votre chemin ! C'est peut être sympa pour ceux qui veulent découvrir ce genre, mais pour les habitués, vous allez faire comme moi : soupirer, rouler des yeux et finir par vous dire que vous avez perdu 4h.
