Metropolis, la tentaculaire.
Je ressors de ce premier tome mitigé.
Non point sur le graphisme que je trouve juste éblouissant mais sur un scénario qui peine à envoyer du bois.
Les mirettes se régalent à chaque coin de cases.
Cette uchronie, au charme désuet, s'appuie sur des illustrations d'un niveau stratosphérique, notamment sur le plan architectural et dans le domaine automobile où le regard se perd régulièrement, occasionnant à juste titre l'air béat du ravi de la crèche.
Difficile d'en dire autant d'un scénar' qui, j'en suis bien conscient, pose les bases sans toutefois y associer un rythme suffisamment élevé pour crier au must-have incontournable.
Inutile de préciser que pour Metropolis, deuxième du nom, j'attends juste de m'prendre un gnon.
Commenter  J’apprécie         460