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Critique de JunoR
Un album assez touchant dans la mesure où il parle du retour des Vinéens en terre natale après un long exil. Le sujet aurait pu être plus politique, plus engagé (et plus moderne, donc), mais finalement l'auteur se mouille assez peu et se contente de rester dans la sphère privée et sentimentale. C'est bien aussi, même si pour moi ça manque d'ambition.
L'équilibre entre science et fiction est toujours extrêmement bien dosé, je trouve, mais cette fois les explications données sont moins crédibles que d'habitude et c'est dommage. Ce détail mis de côté, on peut facilement se laisser emporter par l'histoire et l'émotion.
L'auteur est fidèle à lui-même dans son dessin, d'une finesse et d'une précision remarquable, pour les personnages, les paysages, les appareils, les décors de science-fiction, le mouvement, etc. le tout très typique de la bande dessinée belge de cette époque.
L'équilibre entre science et fiction est toujours extrêmement bien dosé, je trouve, mais cette fois les explications données sont moins crédibles que d'habitude et c'est dommage. Ce détail mis de côté, on peut facilement se laisser emporter par l'histoire et l'émotion.
L'auteur est fidèle à lui-même dans son dessin, d'une finesse et d'une précision remarquable, pour les personnages, les paysages, les appareils, les décors de science-fiction, le mouvement, etc. le tout très typique de la bande dessinée belge de cette époque.
